
Le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a accepté de créer un bureau d’archives pour la persévération de l’ADN des parents des familles des victimes dont les cas de disparition n’ont pas été élucidés, ce qui, selon le quotidien Akhbar Al Yaoum qui rapporte l’information, signifie que les dossiers de disparitions forcée resteront ouverts. La fédération Euro-méditerranée contre les disparitions forcées a indiqué, après avoir tenu une réunion au Maroc en présence d’organisations des droits de l’homme, que le conseil d’El Yazami a approuvé la préservation de l’ADN, appelant tous les responsables marocains chargés de l’affaire des disparitions forcées, à la nécessité de « laisser les portes ouvertes pour les familles et proches des victimes de disparitions forcées, pour qu’elles puissent présenter leurs demandes concernant ces disparitions », et permettre à chaque famille d’utiliser l’ADN pour identifier les restes.






