Le ministère de l’Intérieur a récemment démis six conseillers communaux de la province d’Al Hoceïma de leurs fonctions pour motif d’absences répétées injustifiées. Ce sont des élus du PJD (Parti de la justice et du développement), du PAM (Parti authenticité et modernité) et du parti des néo-démocrates.
Le ministère de l’Intérieur a fixé le 8 janvier comme date de nouvelles élections partielles complémentaires en vue d’élire les représentants de 5 circonscriptions de la commune rurale Aït Kamra de la province d’Al Hoceïma.
Par ailleurs, le ministère de l’Intérieur s’est appuyé sur l’article 67 de la Loi organique relative aux communes qui stipule que la présence des membres du Conseil de la commune aux sessions du conseil est obligatoire. Ainsi, tout membre du Conseil de la commune qui ne défère pas aux convocations pour assister à trois sessions successives ou à cinq sessions non successives, sans motif reconnu valable par le conseil, est considéré comme démis de plein droit de ses fonctions.
A noter que les conseillers démis de leurs fonctions sont : Mohamed El Fakri, Omar Seddiki, Abdelhamid El khmari [NDLR : les 3 sont du PAM], Mohamed Benali (PJD), Yassine Fassi (parti des néo-démocrates). Ces élus représentent les cercles 1, 3, 9, 12 et 13. Une autre élue a été également licenciée. Elle représente le cercle numéro 3 de la province d’AL Hoceïma.






