A défaut de mettre en place un réel plan de sauvetage, la Société anonyme marocaine de l’industrie du raffinage (SAMIR) chercherait plutôt preneur, rapporte le journal ‘’l’Opinion’’.
Dans son édition de mercredi, le journal indique que le ratio de l’endettement a atteint des seuils citriques, à tel point que la Société s’est fait rattraper par ses créances en souffrance.
La société croule sous une dette de près de 40 milliards de dirhams au point que sa situation financière devient intenable, estime »l’Opinion ».