L’hostilité du journaliste espagnol Abdelhaq Cembrero-Ignacio envers le Maroc n’est plus un secret pour personne, elle est devenue pathologique au point de prendre la forme d’une «phobie personnelle», qui laisse présager de graves conséquences pour l’entourage du journaliste.
D’après nos informations, Cembrero cherche à convertir sa fille marocaine adoptive à la foi chrétienne. Ce prosélytisme zélé survient alors que le plumitif sexagénaire empêche l’adolescente de gagner le Maroc pour qu’elle renoue avec sa famille d’origine. Cembrero, qui n’a ni enfants, ni descendants légitimes, pourrait ne plus être le tuteur de l’adoptée, car cette affaire promet de prendre une tournure judiciaire dans un avenir qui n’est pas loin.
Selon les lois espagnoles et marocaines, Abdelhaq Cembrero n’a pas le droit d’empêcher la fille marocaine qu’il a adoptée de se déplacer, car cela constitue une violation des principes constitutionnels et des lois objectives dans les deux pays, et il ne peut pas la contraindre à embrasser un autre dogme, parce que cela contredit l’esprit de la liberté de croyance. Cembrero, censé s’engager à respecter les droits de l’adoptée, de préserver son identité, y compris ses relations familiales, tels qu’ils sont reconnus par la loi, sans ingérence illégale, piétine sur ses attributions en tant que tuteur.
Abdelhaq Cembrero se trouve actuellement à un carrefour dangereux, notamment sur le plan moral, familial et juridique : l’homme est systématiquement et de manière qui confine à l’obsession, hostile au Maroc, tandis que sa fille marocaine adoptive veut renouer avec la mère-patrie, et sa persistance à l’en séparer peut donner lieu à une âpre bataille juridique, conformément aux législations nationales et aux obligations imposées par les instruments internationaux applicables en matière des droits d’enfants.
Et si la famille de la petite porte plainte, Cembrero y verra à coup sûr un harcèlement du Maroc contre sa personne, lui le «spécialiste» du Maghreb qui n’a jamais pipé mot de la Tunisie, de l’Algérie, de la Mauritanie ou de la Libye. Et même ses écrits sur le Maroc sont répétitifs, faux, mensongers, haineux et ennuyeux, genre: «le roi est en France», «le roi est au Gabon», «le roi est toujours au Gabon», «Que fait le roi au Gabon» etc. C’est sans doute maladif chez Abdelhaq Cembrero, mais apparemment cela rapporte. Alger paie à la pige. Plus tu p… la copie, plus tu es rémunéré. Et plus tu es vulgaire et haineux, mieux tu es rétribué. Ali Lmrabet affectionne le procédé. Interpellé par un proche de feu Abderrahmane El Yousfi sur l’acharnement de Cembrero sur le Maroc, un homme politique espagnol, alors ministre des affaires étrangères, toujours en vie, avait répondu: «Contrairement à ce que pensent certains marocains, Cembrero n’est pas notre agent, ce sont les algériens qui le paient». Tout est dit!