L’ancien jardinier, qui avait bénéficié d’une grâce partielle en 1996, a toujours clamé son innocence dans l’affaire du meurtre de Ghislaine Marchal.
Vingt-sept ans après la condamnation d’Omar Raddad pour le meurtre d’une riche veuve, Ghislaine Marchal, la justice a décidé ce jeudi de rouvrir le dossier, première étape vers une éventuelle révision du procès, a-t-on appris de source judiciaire.
«La bataille n’est pas terminée», s’est félicitée devant la presse l’avocate d’Omar Raddad, Sylvie Noachovitch. Incriminé par la célèbre inscription «Omar m’a tuer», l’ancien jardinier – qui avait bénéficié d’une grâce partielle en 1996 – a toujours clamé son innocence et souhaite faire annuler sa condamnation de 1994.






