Roman Polanski ne pourra finalement pas se rendre aux États-Unis sans être arrêté.
Peine perdue selon le site américain TMZ, qui a expliqué mercredi 1er mars que la justice entendait faire de Roman Polanski un justiciable comme un autre et qu’à ce titre, il serait considéré comme n’importe quel autre fugitif en cas de venue aux États-Unis.
Selon la justice américaine, Roman Polanski » ne peut pas dicter de loin tout en s’isolant de toute conséquence potentielle négative. » En clair, la justice a décidé de refuser le marché proposé par Roman Polanski de venir clore cette affaire en échange d’une non-arrestation.
À noter que le réalisateur avait fui les États-Unis en 1978 après une condamnation pour viol, dont la victime, qui avait 13 ans à l’époque, a expliqué qu’elle ne souhaitait pas une réouverture du dossier ou un nouveau procès. Condamné initialement à 48 jours de prison, un juge avait finalement décidé de condamner le réalisateur à une peine de 50 ans.






