Avant leur évacuation d’Alep, les habitants ont tenu a laissé des messages d’amour sur les murs de leur ville dans l’espoir d’y revenir.
«Aime moi, loin du pays des représailles et de la répression. Loin de notre ville saturée de mort», peut-on lire en lettres rouges sur l’un d’eux, des mots du grand poète Nizar Kabbani.
“Les mots transcendent la politique. On veut juste dire qu’on est triste de partir, qu’on a fait la révolution par amour pour Alep, par amour pour notre pays“, confie l’un des activistes au Figaro, contacté par Whatsapp.
Ces messages sont un mélange de tristesse et de promesse de retour, laissez des marques et des gravures sur les murs d’une ville complètement en ruines.
Ce n’est qu’un au revoir…