Plus de 3.000 cas de disparitions forcées ou involontaires sont recensés, à ce jour, en Algérie, a fait savoir, vendredi à Rabat, la présidente du groupe de travail des Nations-Unies sur les disparitions forcées ou involontaires, Mme Houria Es-Slami.
« Le nombre des plaintes pour disparitions forcées ou involontaires en Algérie est estimé à plus de 3.000 cas », a dit Mme Es-Slami lors d’une conférence de presse tenue par le Groupe d’experts des Nations-unies sur les disparitions forcées ou involontaires, au terme de sa 108è session, tenue à Rabat du 8 au 12 février courant.
Au Maroc, ils resteraient, à ce jour, 66 cas de disparitions forcées ou involontaires non élucidés.