Le Conseil a toutefois ramené à 12 mois cumulés, au lieu de 24, les mesures individuelles de contrôle administratif et de surveillance pouvant être appliquées à certains détenus ayant purgé leur peine.
Le Conseil constitutionnel a validé ce vendredi l’essentiel des dispositions de la nouvelle loi antiterrorisme, adoptée définitivement par le parlement le 22 juillet.
Dans sa décision, le Conseil a toutefois ramené à 12 mois cumulés, au lieu de 24 mois cumulés, les mesures individuelles de contrôle administratif et de surveillance (Micas) pouvant être appliquées à certains détenus condamnés pour terrorisme et ayant purgé leur peine.