Au moment où le Sahara marocain vit au rythme d’une véritable dynamique de développement, les camps de Tindouf connaissent une situation dramatique, a affirmé, le vice-président du centre marocain de la diplomatie parallèle et du dialogue des civilisations, Mohamed Elghet Malainine.
« Les provinces du sud vivent au rythme d’une dynamique économique et de développement, alors que les camps de Tindouf endurent une situation dramatique avec la hausse du taux de pauvreté et de la précarité dont l’Algérie assume la pleine responsabilité juridique, morale et sociale », a relevé M. Malainine.
Il a rappelé, dans ce sens, que dans son rapport de 2020, le secrétaire général de l’ONU a mis en relief les investissements du Maroc dans ses Provinces du sud en citant, notamment, la construction du port Dakhla-Atlantique et la voie express Tiznit-Dakhla.
Le choix d’opérateurs économiques marocains et étrangers d’investir dans les provinces du sud s’explique par la politique de développement et les grands investissements lancés par le Royaume dans cette partie du territoire national, a-t-il relevé, notant que tout cela contribue à la réussite des projets d’investissement.
Le Maroc, en tant qu’important pôle économique reliant l’Afrique à l’Europe, ainsi qu’au reste du monde à travers le port Tanger Med, le poste-frontière El Guerguarat et le port de Dakhla, suscite l’engouement des opérateurs économiques mondiaux qui veulent investir dans le Royaume.