Dans son livre qui vient de paraître sous le titre, « Ce que je ne pouvais pas dire », Jean-Louis Debré raconte le contenu de son entretien avec le président Bouteflika le 9 décembre 2015 à Alger.
Au sujet des relations entre l’Algérie et le Maroc, l’ancien président du Conseil constitutionnel français (2012-2016), écrit : « Il est aussi question dans notre échange des rapports entre l’Algérie et le Maroc, qu’il qualifie de ‘déplorables’. Bouteflika se demande devant moi pourquoi les responsables marocains ne cessent pas d’insulter l’Algérie et son chef’…
Jean-Louis Debré rapporte par ailleurs le contenu d’un entretien, le 16 septembre 2015 à Rabat, dernier, de hauts responsables du royaume dont le ministre de la Justice et son homologue marocain, sur l’Algérie. « Tous me disent que l’évolution politique en Algérie après la disparition de Bouteflika, sera un problème majeur. On sait qui prendra la suite et dans quelles conditions », écrit Jean-Louis Debré.







