Carl Paladino, le coprésident de la campagne de Donald Trump dans l’Etat de New York, a déclenché une vive polémique en souhaitant la mort du président sortant Barack Obama.
Interrogé sur ce qu’il aimerait voir se produire en 2017, l’homme d’affaires américain-proche du président élu- a répondu espérer qu’Obama » contracte la maladie de la vache folle après avoir été surpris ayant des relations avec une Herford (…) et qu’il meure avant son procès ».
Puis questionné sur ce qu’il aimerait voir disparaître l’an prochain, l’ancien candidat républicain au poste de gouverneur de New York en 2010 a répondu : « Michelle Obama».
« J’aimerais qu’elle redevienne un homme et qu’elle soit relâchée dans la brousse du Zimbabwe pour qu’elle vive confortablement dans une grotte avec Maxie le gorille », a-t-il déclaré à l’hebdomadaire new-yorkais Artvoice, qui a posé les mêmes questions à différentes personnalités à l’aube de 2017.
Des propos qui ont choqué et ont enflammé les réseaux sociaux. Face aux réactions suscitées par ses commentaires, Paladino a publié une lettre ouverte dans laquelle il estime que ses remarques « n’ont rien de raciste ».
Il en a encore une fois profité pour s’en prendre de nouveau au couple présidentiel, traitant Barack Obama de « lâche peureux » et estimant que Michelle Obama devrait « aller quelque part où elle sera heureuse ».
À noter que le président élu Donald Trump n’a pas personnellement réagi, mais une porte-parole citée par le New York Times a déclaré que les commentaires de Paladino étaient « totalement répréhensibles et n’ont pas leur place dans notre discours public ».






