Le bâtisseur de l’alliance Renault-Nissan a fait l’objet de deux nouvelles inculpations par la justice japonaise, ce qui prolonge sa détention au Japon. Ses avocats ont déposé une demande de libération sous caution, mais cette requête a peu de chances d’aboutir. En cas de refus, il restera en prison au moins jusqu’au 10 mars, a déclaré l’AFP.
Le parquet a décidé de le poursuivre pour abus de confiance, une accusation pour laquelle Nissan a en outre annoncé avoir porté plainte, disant « ne pas tolérer de tels agissements et réclamer des sanctions fermes », a avancé la même source.
Selon le bureau du procureur Carlos Ghosn risque en théorie jusqu’à 15 ans de prison.






