Une source sécuritaire a démenti la véracité des informations publiées sur les médias et réseaux sociaux, selon lesquelles une écolière mineure aurait été violée par cinq personnes à Casablanca.
Afin d’éclairer l’opinion publique, la source sécuritaire a confirmé que les informations publiées étaient erronées et relevaient de fausses informations, soulignant que cette information n’a émané que d’un soupçon de la directrice de l’établissement scolaire en raison de la présence de traces de sang sur les vêtements de celle-ci, ce qui l’avait amené à se diriger vers la police. Cette dernière a ouvert une enquête approfondie sous la supervision du ministère public.
La même source a ajouté que l’expertise médicale menée sur la fillette avait confirmé qu’elle n’avait subi aucun abus physique ou sexuel et qu’elle avait simplement ses menstruations pour la première fois. Ce qui l’a poussée à dire qu’elle a été violée parce qu’elle ne savait pas ce qu’était un saignement menstruel.
La même source a ajouté que la jeune fille avait été entendue en présence de ses tuteurs par le responsable de la cellule « Violence contre les femmes » de la division de la police judiciaire d’Ain Sabaa, à Hay Mohemmadi à Casablanca, où elle avait confirmé qu’il n’avait pas subi d’agression sexuelle.