El Habib Choubani assiste un investisseur Français à obtenir une réévaluation à la baisse du prix d’un terrain relevant des terres collectives.
L’investisseur français Prissette Philippe Jacques Marie, se déploie pour finaliser l’aménagement d’un hôtel à Errachidia dénommé ‘’Parfum du desert’’, en recourant aux interventions d’El Habib Choubani pour le soutenir à cet effet, auprès de la direction des affaires rurales au ministère de l’Intérieur et de la Wilaya de cette région, a appris « Barlamane.com« .
Les travaux de cet hôtel, au taux de réalisation de 75% environ, ont été suspendus depuis 2010. Entammé en 2007, en association avec Addou El Ghazi, ce projet consiste en la création d’un établissement hôtelier de quatre étoiles sur une parcelle de terrain d’une supercifie de 15.000 m2, relevant des terres collectives de la « Jamâa Soulalia » d’Ait zdeg, sise à la sortie de la ville d’Errachidia, en direction de Tinghir.
Le chantier n’a pas été finalisé jusqu’à présent en raison des problèmes rencontrés par ce Français, en rapport avec le prix de cession du terrain devant abriter cet établissement hôtelier, précisent les sources.
En effet, ce terrain a été cédé au préalable au prix de 100dh/m2 par cette « Jamâa Soulalia » via les services du domaine à Errachidia. Il a été, par la suite, révisé à la hausse en 2017 par le ministère de l’Intérieur pour atteindre 300 DH, laquelle révision a été contestée par cet investisseur, surtout qu’il a procédé à l’acquisition, le 10 décembre 2013, des quotes-parts de son associé précité, apprend-on.
Pour tenter de trouver une solution à ce problème et pouvoir parachever les travaux de construction de cet hôtel, « Prissette Phillippe Jacques entreprend des contacts avec les différents responsables et élus, dont El Habib Choubani pour l’assister à obtenir une réévaluation à la baisse du prix fixé par la « DAR » jugée excessive », affirment les mêmes sources.
Et d’ajouter qu’El Habib Choubani était intervenu, en novembre 2011, auprès du gouverneur responsable de la direction des affaires rurales au ministère de l’Intérieur, auquel il avait sollicité l’activation du dossier de l’investisseur français en question, avant d’aviser ce dernier de la suite favorable réservée par ce gouverneur à son dossier.






