Des «Commandos» pour libérer les otages et pour des interventions armées au Maroc
Le Directeur général de la sûreté nationale, a annoncé la mise sur pied de « Commandos » relevant de la police judiciaire, semblables à ceux des Etats-Unis spécialisés dans les interventions de sécurité sensibles.
Selon Al Massae, citant des sources informées, ces équipes régionales relèveront directement des préfets de police dans les villes ou elles exercent, et ne pourront intervenir qu’en coordination avec la Direction générale de la sûreté nationale.
De mêmes sources on précise que chaque équipe sera composée de dix éléments ayant reçu une formation spéciale à l’Institut royal de la police, et soigneusement choisis.
Daesh réduit le budget de la santé et de l’éducation au Maroc.
Le quotidien Al Akbar rapporte, quant à lui, que Mohamed El Ouafa, ministre des Affaires générales et de la gouvernance, a déclaré que le gouvernement ne pourra plus se permettre des dépenses en matière de l’éducation et de la santé, expliquant que depuis l’apparition de Daesh, le Maroc est obligé de consacrer un budget plus consistant pour la sécurité.
Le journal estime que cette déclaration reflète l’intention du gouvernement de ne pas honorer ses obligations, comme cela a déjà été démontré à travers les décisions et les orientations du gouvernement de réduire en peau de chagrin les investissements dans le secteur de la santé laissant ainsi la porte ouverte aux investisseurs privés.
Selon le journal, la question de la sécurité exige une grande attention surtout dans les circonstances actuelles, mais cela ne devrait en aucun cas occulter l’échec du gouvernement à fournir les services de base à ses citoyens.
Des éléments de la police accusés d’avoir torturé deux élèves innocents.
C’est ce que révèle le quotidien Assabah selon lequel le procureur général à Casablanca, a ordonné l’ouverture d’une enquête par la police judiciaire sur deux agents de la police de la ville, accusés par deux élèves de les avoir torturé pendant leur détention pour vol à l’arrachée, avant d’être libérés une fois leur innocence prouvée.
La Samir croule sous des dettes estimées à plus 30 milliards de dirhams, et son propriété refuse de la sauver.
C’est ce que croit savoir Akhbar Al Yaoum qui cite un rapport des experts, demandé par le président du tribunal de commerce de Casablanca sur la situation financière de la société « La Samir», un rapport qui comprend des données intéressantes, vu qu’il a révélé l’existence d’une telle dette dont le montant ne comprend pas les 1,6 milliards de dirhams réclamés par la direction des impôts.
Le rapport dont le journal a confirmé le contenu, fait ressortir que la société « La Samir » est incapable de rembourser les dettes envers différentes partie dont l’état représenté par l’administration fiscale, les institutions bancaires ainsi que les entreprises et les fournisseurs travaillant avec la société. Les trois experts chargés de l’affaire ont exprimé leur pessimisme quant à l’avenir de la société confrontée qu’elle est à deux choix, soit le règlement judiciaire ou la procédure de liquidation.
Selon le journal, les experts qui ont tenu des réunions avec des responsables de la direction des impôts, des représentants des banques créancières et les fournisseurs de la société, ainsi qu’avec des responsables du bureau de change, outre celles tenue avec les comptables de « la Samir » et des bureaux d’études, ont remarqué que les capitaux propres de la société ont baissé de façon surprenante, vu qu’ils n’ont pas été augmentés depuis août. Il en est de même du solde négatif de la trésorerie de la société, étant donné que les fonds propre n’ont pas connu de changements depuis 1997.






