Dbibina n’a jamais douté du fait que Cembrero soit l’une des nombreuses barbouzes que compte le CNI espagnol….d’ailleurs, la presse marocaine n’avait pas hésité à expliquer en détail le modus-operandi de sa barbouzerie….
Et si au départ, Cembrero s’est limité à démentir, en qualifiant la presse marocaine de « diffamatoire », « partisane » et « aux ordres »….
Il a fini par cramer sa couverture ghi bouhdou, après avoir accusé les autorités marocaines de l’avoir espionné à travers le logiciel « Pegasus », car, selon ses dires, « personne ne pouvait être au courant de mes échanges privés avec des hauts gradés du gouvernement, ayant été révélés par la presse marocaine »… euuuh tu confirmes donc bien la véracité de ce qu’a publié la presse marocaine à ton encontre la non ?
Cramé pour cramé, Ignacio Cembrero s’est dit je vais aller au bout de ma barbouzerie en emportant avec moi le maximum de personnes possible, d’où la publication d’un article assassin, accusant, ni plus ni moins, une de ses consœurs espagnole, d’être à la solde non pas du CNI comme lui, mais de la DGED marocaine carrément…
« Barbara Baron a travaillé pendant de nombreuses années pour les services secrets extérieur du Maroc, pendant que son père, Enrique Baron, était à la tête des Renseignements Généraux de la police espagnole» BOUM SAFE SALINA….Cembrero, dès la première phrase, sans passer par les préliminaires, vient juste de griller définitivement sa compatriote et son père au passage, qui seraient « barbouzement » marocains….
Mais sur quoi notre barbouze se base-t-il pour jeter ainsi en pâture le nom d’une collègue de travailet de son paternel, qui occupe aujourd’hui le poste de commissaire provincial à Malaga ??? eh bah, selon le souteneur en chef de la Zriba des souteneurs, Ali Lmrabet, qui comme d’habitude se fait le porte-parole de son agent-traitant: « les sources sont des messages WhatsApp de très hauts gradés de la police espagnole qui affirment avec détails les accointances des Baron avec la DGED»…..ah bon ? T’es sure Alilou ? T’aurais pas omis quelques détails importants par hasard ?
Pck je ne suis pas vraiment sure que les protagonistes de ces échanges WhatsApp qui sont cités dans l’article de Cembrero, à savoir l’ex-commissaire Enrique Garcia Castano, dit « Le Gros », qui risque actuellement jusqu’à 12 ans et 6 mois de prison pour son implication dans une affaire de trafic d’influence et de corruption de grande envergure puisse être qualifié tout simplement de « très haut gradé de la police espagnole »….t’aurais peut-être dû ajouter « véreux » et « mafieux » juste à coté non ? Par respect pour la déontologie journalistique non ?
pareil pour l’autre source avec qui « Le Gros » a échangé les messages WhatsApp, à savoir Francisco Martinez, ex-secrétaire d’état à la sécurité espagnole, qui lui risque jusqu’à 15 ans de prison pour les mêmes crimes que son interlocuteur….
Donc on est la face à deux sources totalement corrompus, poursuivis par la justice de leur pays dans le cadre d’un scandale retentissant portant le nom de « l’affaire Kitchen », impliquant des politiciens et sécuritaires espagnoles véreux, étant connectés, d’une manière ou d’une autre, à la tête pensante de ce réseau criminel, à savoir le commissaire José Manuel Villarejo, qui en 2004, avait accusé les autorités marocaines d’être derrière les attentats meurtriers de Madrid, avant de se voir invité à Y NOUD TG3D par la justice de son propre pays…..voilà donc les sources de Cembrero pour accuser les Baron d’accointances avec la DGED !!!!!
Mais le plus drôle, c’est que selon le roman de Cembrero, l’échange Whatsapp entre ces deux « hauts gradés » impliquant la famille Baron et la DGED marocaine a eu lieu précisément le 24 septembre 2017, date à laquelle le premier interlocuteur, à savoir le commissaire Castano dit « Le Gros » était au chômage depuis 7 mois, alors que le deuxième interlocuteur n’était plus secrétaire d’état à la sécurité depuis novembre 2016 (10 mois)….Donc por favor Cembrero et son larbin Alilou, pouvez-vous nous expliquer en quoi les discussions de comptoirs entre deux chômeurs, qui affirment toute honte bue que « Ahmed Charai, agent de la DGED a rencontré en Espagne, Enrique Baron tout en payant sa fille à l’effet d’écrire des articles sur l’Observateur du Maroc » peuvent-elles être jugées comme légitimes et d’une vérité absolue ???
Surtout quand on se rend compte après une simple recherche Google que Barbara Baron n’a jamais écrit pour l’Observateur Du Maroc….ce qui est un peu la base de leurs accusations quand même….
ne s’arrêtant pas en si bon chemin, Cembrero va continuer à nous révéler d’autres échanges Whatsapp (dont l’accès n’est possible qu’à travers le logiciel espion Pegasus), qui auraient eu lieu, le 15 septembre 2022 à 15h précise (il ne se casse pas la tête), entre Ahmed Charai (donc le fameux agent de la DGED) et Barbara Baron (la désormais collaboratrice de la DGED) et ce, dans le but de rendre un service à…..Abdellatif Hammouchi qui est le patron de la DGST, à savoir les renseignements intérieur, qui n’ont absolument rien à voir avec la DGED et les renseignements extérieur…..une différence de taille visible à l’œil nu pour n’importe qui….mais pas pour Cembrero et son Alilou pour qui DGST DGED DJAJ BTATA c’est du pareil au même…..
Ainsi, Ahmed Charai (qui devient du coup collaborateur de la DGST alors qu’il roulait pour la DGED) aurait demandé, gentiment, le 15 septembre à 15h, à Barbara Baron (qui du coup ne roule plus pour la DGED mais pour la DGST) de diffuser en avant première (avant même la MAP), la photo de la rencontre à Rabat entre Hammouchi et son homologue espagnole Esperanza Casteleiro, qui elle apparemment, selon Cembrero, ne voulait pas du tout que cette photo ne fuite….comme le montre les traits de son visage souriant sur cette photo officielle où elle se tient devant le drapeau de son pays en train de serrer la main de son homologue marocain….
Donc outre le fait que Barbara Baron n’a jamais publié d’articles sur cette rencontre, sachant que le journaliste qui a publié cette information dans le media espagnol pour lequel travail Barbara Baron est un monsieur du nom de Jesus Zuloaga…..
et outre le fait que l’article en espagnol a été publié à 18h soit 3 heures après la MAP et le reste des médias et agences de presse mondiales, qui l’ont publié à 15h01 précise….
c’est surtout le fait que Cembrero avait déjà évoqué cette même affaire de « PhotoGate » dans un article datant d’il y’a 6 mois et à aucun moment jdis bien A AUCUN MOMENT il n’a évoqué une quelconque accointance d’Ahmed Charai ou de Barbara Baron avec le patron de la DGST, se limitant de parler d’une volonté de ce dernier de faire fuiter sa rencontre avec la directrice du CNI, dans le soi-disant objectif « de redorer son image et de montrer qu’il reste un interlocuteur valide et apprécié par ses homologues des services secrets européens »….
j’avoue qu’il attendait la directrice du CNI pour prouver à quel point c’est un interlocuteur « valide et apprécié par ses homologues étrangers »…. Pck c’est vrai que les américains, les israéliens, les allemands, les hollandais, les saoudiens, les émiratis et tous ces hauts responsables sécuritaires influents qui passent par le bureau de Hammouchi…ca compte pour du beurre….
(Ci-dessus toutes les photos envoyées, le 15 septembre à 15h00, par Charai à Barbara Baron sur WhatsApp 😂 😂 😂 😂 😂 😂)
Cembrero, la barbouze, se donne tout se mal à recycler de vieux articles périmés, à inventer des conversations imaginaires, à s’emmêler les pinceaux entre les renseignements intérieur et extérieur, en y impliquant tout et n’importe quoi, dans le seul but de briser l’élan positif maroco-espagnol, à travers des accusations fallacieuses basées sur de l’enfumage pure et simple où le Maroc est accusé d’infiltrer tous les pans de la société, en allant de la police espagnole à la presse…..en gros il veut une relation aussi chaotique que celle qu’entretient la France avec le Royaume….
Et pour ce faire, il fait appelle à son réseau de souteneurs, à l’image de son co-auteur pour cet article diffamateur, le nommé José Bautista, un baroudeur, qui a fait du camping à Tindouf dans le camp de « Dakhla » pour y installer une radio locale, avant de travailler comme plongeur dans des fast foods parisiens, pour ensuite aller se balader en Amérique Latine, afin d’interviewer Alilou Lmrabet pour le compte des médias de propagande du polisario …en Argentine…en gros il répond au profil idéal du barbouze espagnol anti-marocain qui exerce savamment ses talents d’écriture dans ses échanges épistolaires avec le CNI….qui le lui rend bien….
avant de solliciter ses relais algériens….
…et ses larbins officiels pour faire le Service-Après-Vente habituel……à savoir toujours les mêmes membres d’un réseau mafieux qui n’a besoin ni de fuites d’échanges WhatsApp ou de logiciels-espion pour se faire cramer….
Mais quoi que tu fasses « Abdelhak » Cembrero, il n’y a qu’une seule issue pour les barbouzes écervelées de ton genre c’est que tôt ou tard GHATNOUUUUUDOUUUU TG3DOUUUUUUUUU