La direction de la prison assure que Taoufik Baouachrine a reçu cinq lettres de son épouse et trois autres de ses enfants.
La direction de la prison locale Ain Borja de Casablanca a affirmé que le détenu Taoufik Bouachrine jouit, depuis son incarcération, de tous ses droits légaux, dont celui de communiquer avec sa famille, soit lors des visites, soit par correspondance.
En réponse aux déclarations d’un des avocats du détenu à certains journaux électroniques, qui avait affirmé que son client est privé de recevoir des lettres, la direction, citée par un communiqué de la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), précise que Baouachrine a reçu cinq lettres de son épouse, durant la période allant du 2 au 11 avril, et trois autres de ses enfants, de sa sœur et de son épouse, le 19 avril, soulignant que toutes les lettres ont été remises à l’intéressé contre accusés de réception.
Condamnant « les déclarations fallacieuses véhiculées à maintes reprises par la défense du détenu concerné, devant les supports médiatiques », la direction assure que ces agissements ne la dissuaderont aucunement d’appliquer la loi à l’encontre de l’ensemble des prisonniers sans distinction aucune.