Avoir une opinion sur tout, Dounia Filali l’a prouvé : les Juifs, les Marocains, les sécuritaires, les journalistes, la France, la Chine, les poupées gonflables et la contrefaçon des téléphones. De là à croire avoir systématiquement quelque chose à dire, il y a un pas à ne pas franchir malgré que les réseaux sociaux sont des outils à portée de tout un chacun.
Ne pas savoir aligner une phrase et vouloir écrire et publier un livre, passe encore au vu de la longue tradition de nègres de par le monde pour rédiger à la place de personnes sans talents, et à la tradition française de les dépêcher derechef dès qu’il s’agit de montrer une image du Maroc faussée même sans preuve pourvue qu’elle soit sombre (on l’a déjà vécu avec un prince dont la plume bégaie à chaque phrase et qui, pourtant, se croit le meilleur académicien de la planète). Ce n’est pas à eux que l’on enseignera la parcimonie ni à Dounia Filali qui en est encore à la lettre « c » du dictionnaire facile sur internet.
Dire qu’elle estera en justice le Maroc aux Nations unies pensant que le public, auquel elle s’adresse, est aussi analphabète qu’elle est une insulte dont il ne se remettra pas. Car si elle ne sait pas comment utiliser internet, le public lui sait chercher sur google. Et le site officiel des Nations unies établit que l’organisation internationale n’est pas une cour de justice (et même la cour de justice internationale ne règle que les différends entre Etats).
(Pas) chère Dounia Filali, on porte plainte, quand on a un dossier qui peut être qualifié de recevable dans un tribunal (dont la recevabilité et l’issue sont livrées à l’appréciation de juristes qualifiés dans une cour de justice) pas ailleurs et certainement pas aux Nations unies dont voici, ci-après, un aperçu de la charte qui définit ses attributions. Nous le déroulons pour l’enseigner à Dounia Filali et à son complice de mari dans l’ignorance et la perfidie, à toutes fins utiles, à la fin de l’article*. Ou plutôt pour le mettre à disposition de ses nègres pour qu’ils lui expliquent qu’elle doit arrêter « la citation à la haine », (formule qui lui est chère et qu’elle voudrait voir dans le Robert édition 2023). Trêve de plaisanterie, il faut lui dire que l’INcitation à la haine est pénale.
Si elle a pu manipuler, à force de faux titres égrenés comme des trophées sur ses bios des réseaux sociaux comme :
- journaliste ou future patronne de presse alors qu’elle ne détient pas de carte de presse ni d’autorisation d’exercer ou de créer un média en France ni ailleurs dans le monde, un sésame soumis à conditions ; le couple Filali a-t-il un jour exercé le métier de journaliste? Sait-il que la loi punit l’usurpation de fonction ?
- première marocaine réfugiée politique en Chine (dans ce cas-là que fait-elle en France ? ) ;
elle s’est elle-même discréditée à force de publier ses élucubrations en voulant leur donner la force d’analyses et d’arguments massue. De massue, il n’y a de vrai que ce qu’elle a asséné au peu de crédibilité qu’elle avait auprès d’une petite audience au vu du nombre des petites dizaines qui « likent » ses « posts » sur twitter et Facebook – ceux sur YouTube ont été glanés à l’époque où elle était « influenceuse marketing de ses poupées gonflables et téléphones contrefaits.
Le public ne peut que se rendre compte, de par ses posts répétés, qu’elle conjugue toutes les preuves au futur, mais qu’au présent il n’a que des flots des mêmes diatribes qui se suivent sans arguments. Un peu (beaucoup) comme quelqu’un qui vit dans un monde virtuel pour cacher sa réalité qui se fissure. Ainsi elle promet :
- bientôt des informations sur les sécuritaires au Maroc (depuis le 19/02/2022 on les attend),
- bientôt son journal en ligne ….mais pourquoi continue-t-elle à se tirer une balle dans le pied ?
Sait-elle que l’outil qu’elle utilise exige l’immédiateté sous peine de susciter désintérêt et sombrer dans l’anonymat surtout si son « bientôt » livre (version papier, Dounia, vraiment ?) écrit par des nègres a la qualité (de flop) de ces séries B du genre « La Vengeance aux yeux clairs » (TF1) ?
Mais qu’elle retourne à ses ventes en ligne sans contrefaçon bien sûr ; car si elle a réussi à fuir la justice au Maroc pour ce commerce (car elle n’y résidait pas à l’époque des plaintes des clients spoliés), elle ne passera pas entre les filets des tenants de l’économie française, malgré les bons offices jusqu’à présent de l’Etat profond duquel elle attend « l’asile » pour ses fraudes, il faut bien le dire.
Enfin, les « fans » du couple Filali souhaiteraient avoir une idée sur les sources de financement des procès qu’il intente à des dizaines de journalistes et autres responsables, sachant que le coût de ces procès se chiffre à des dizaines de milliers d’euros, que les avocats français ne font pas dans le bénévolat, et que les fugitifs Dounia et Adnane vivent des subsides de leurs protecteurs dont le cercle se rétrécit à vue d’œil !
*« Compétences -Que peut faire l’ONU ? » : l’ONU développe la coopération entre États. L’ONU n’est pas un super-État ni un gouvernement mondial. Les 193 États membres sont égaux et ils ne délèguent pas leur souveraineté à un pouvoir supranational. L’ONU est avant tout un lieu de discussions permanentes et de négociations diplomatiques où les représentants des États membres peuvent se faire entendre sur tous les problèmes mondiaux. L’Assemblée générale et le Conseil de sécurité sont les organes essentiels pour adresser des recommandations aux gouvernements et faire appliquer des résolutions pour assurer la paix et la sécurité internationales.