Depuis l’annonce du Maroc de son action pacifique pour garantir la libre circulation des personnes et des biens dans le poste-frontière d’El Guergarat, les réactions en faveur de cette action légitime affluent sans cesse en signe de solidarité avec le Royaume.
Africa Culture International Human Rights (ACI Human Rights) ainsi que des ONG mexicaines, telles que le Conseil du leadership et du bien-être social (El Consejo de Liderazgo y Bienestar Social), la Fédération internationale pour la santé et la sécurité (la Federación Alianza internacional de salud y seguridad) et la fondation México Blanco et le Conseil international des gouvernements locaux (El Consejo Internacional de Gobiernos Locales), dénoncent et condamnent les actes de vandalisme du polisario et de ses milices.
A travers leur représentante Maoulainine Sadaani au Maroc, ces ONG louent « la sagesse et la prudence des Forces Armées Royales marocaines dans leur intervention pour ouvrir Guergarat et assurer la liberté de mouvement et de circulation des marchandises sans actes de violence ou de perte en vies humaines ». Elles soutiennent également « l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc et sur le Sahara » et préconisent « une solution pacifique, juste et réaliste, qui a été applaudie par la communauté internationale, c’est-à-dire l’autonomie proposée par le Royaume du Maroc pour mettre fin à ce conflit qui a duré plus de quatre décennies de souffrance, de douleur et de séparation familiale ».
Ces ONG rejettent catégoriquement la violation de l’accord de paix du cessez-le-feu et du retour à la guerre que les dirigeants du front polisario ont officiellement déclarée, incitant la population civile, les enfants et les femmes les plus vulnérables à la violence et autres incitations d’actes de violence. « Les émeutes et la guerre des milices, le recrutement d’enfants et de jeunes comme soldats, sachant que la guerre n’est pas une option pour une solution à ce conflit, ont caractérisé le comportement inadmissible du front polisario », souligne-t-on.
Elles appellent ainsi « la communauté internationale à exiger que les dirigeants du front polisario acceptent de négocier pour une solution pacifique qui ne soit pas la guerre, qui respecte les droits de l’homme et la légalité internationale et n’entraine pas la région au centre de tensions et d’instabilité alors que le monde concentre ses efforts pour lutter contre la pandémie de la COVID-19 qui crée la menace existentielle la plus grave pour l’humanité ».
Pour rappel, plusieurs pays arabes et africains, mais aussi des organisations régionales, ont fait part d’un appui ferme et sans équivoque à l’intervention légitime du Royaume pour rétablir le statu quo au niveau de cette zone tampon. Dans leurs réactions, ils ont également condamné vigoureusement les mésaventures illégales et provocatrices des séparatistes du polisario.