Contrariés par la réussite de l’opération menée par les Forces armées royales (FAR) pour sécuriser la zone tampon de Guergarate, les séparatistes du polisario, qui ne sont d’ailleurs plus en mesure de cacher leur perte de vitesse dans la bataille diplomatique qu’ils livrent contre le Maroc, ont décidé d’user intensivement des fake news.
Les faits : Barlamane.com a appris de sources autorisées que l’hôpital Moulay El Hassan Ben Mehdi de Laâyoune a reçu, le 17 novembre dernier, le patient Bamba Lafkir qui souffrait d’une fracture de la hanche. Une fois qu’il a contacté les services d’urgences, il a été immédiatement transféré à l’hôpital et reçu, par conséquent, par l’équipe médicale du bloc opératoire.
Il a ainsi subi, au début, un examen radiologique et a reçu, par la suite, des médicaments et des antalgiques pour calmer ses douleurs. Et ce, en attente d’une décision médicale, suite à laquelle il devrait, soit être soumis à une intervention chirurgicale ou se contenterait d’un traitement orthopédique. Toutefois, sa fille séparatiste, Mahfouda Bamba Lafkir, qui a été soutenue par les membres de sa famille, a voulu exiger au médecin d’opérer son père sur-le-champ, défiant ainsi le médecin en charge du patient alors que celui-ci reste libre de sa décision et qu’il en reste le seul responsable.
Rappelons qu’avant chaque intervention chirurgicale, il est habituel de faire passer au patient toute une batterie d’examens comme des analyses de sang et d’urine ainsi que des examens d’imagerie médicale. Ces examens sont censés détecter d’éventuels risques pour la santé du patient pendant ou après l’opération (risque opératoire). Toutefois, Mahfouda Bamba Lafkir a accusé le personnel médical de négligence vis-à-vis de son père alors qu’il a tenu à se conformer aux règles de l’éthique médicale, soulignent les mêmes sources. Elle a également semé le trouble dans l’établissement médical.
Dans ce cadre, les autorités locales et médicales nient catégoriquement les allégations de cette séparatiste. D’ailleurs, cela ne les dissuadera pas d’aller de l’avant pour préserver l’intégrité territoriale et renforcer la position des régions du Sud en tant que moteur de développement régional et continental.