Les séparatistes du « Polisario » ne reculent devant rien pour sauvegarder leurs intérêts en ayant recours à tous les stratagèmes et instruments de propagande, n’hésitant pas à exploiter, cette fois-ci, la femme pour faire valoir « leur lutte pour autodétermination ».
Apres avoir utilisé les enfants et les jeunes qu’ils mettent en avant en alléguant qu’ils sont pressés d' »en découdre avec le Maroc »- alors qu’en réalité ils en ont assez de vivre sous le joug d’une élite corrompue et assoiffée du pouvoir- les voilà à présent recourir aux femmes en affirmant, pas par leur voix, mais par droithommistes algériens interposés qu’elles vont libérer « le territoire ».
Le cas du président de « la commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’Homme » en Algérie (CNCPPDH), Farouk Ksentini, qui s’est dit « pleinement confiant » en la capacité de la femme sahraouie à prendre exemple sur la femme algérienne, en participant « efficacement » au recouvrement de « l’indépendance de son pays sous occupation depuis plus de 40 ans ».
« Je suis pleinement confiant en la capacité de la femme sahraouie à prendre exemple sur la femme algérienne, en participant efficacement au recouvrement de la liberté et de l’indépendance du Sahara Occidental », sous occupation depuis plus de 40 ans », a affirmé Ksentini à l’ouverture d’une conférence de solidarité sur la résistance de la femme sahraouie pour la protection des droits de l’Homme, organisée jeudi à Alger.
Selon cet individu, cité par l’APS, les femmes algérienne et sahraouie « sont concernées par la même bataille historique, celle de la libération du joug colonial ».On croyait l’Algérie indépendante depuis des décennies, à moins qu’il entendait par « joug colonial » les généraux qui dirigent son pays.
Bien évidemment cette « conférence de solidarité, ne pouvait se dérouler sans la participation des « femmes sahraouies venues des territoires occupés » qui ont présenté, à cette occasion, « des témoignages sur leur lot de souffrances que leur font subir les forces d’occupation marocaines comme la torture, le viol, l’exclusion et autres ».
On imagine mal un régime qui « torture, viole et exclut » ces femmes, leur permettre de sortir des « territoires occupés » pour se rendre par avion à Alger et ensuite regagner tranquillement, une fois cette rencontre de propagande terminée chez les algériens, ces « territoires occupés » au risque de se faire encore « violer » et de subir des tortures ».
Et dire qu’en ayant recours à ce genre de propagande ridicule qu’ils (les séparatistes du Polisario) entendent convaincre les populations séquestrées, ainsi que l’opinion publique internationale de la « justesse de leur cause ».
Décidément le ridicule ne tue plus chez les polisariens et leurs mentors, les algériens.






