Un an après la mise en oeuvre par la justice européenne du ‘’droit à l’oubli numérique’’ (qui permet à un particulier de faire disparaître des informations personnelles indexées par un moteur de recherche, notamment si elles sont périmées ou inexactes), Google a reçu 348.085 demandes d’internautes pour le faire appliquer, mais a refusé d’effacer de ses résultats de recherche plus de la moitié des liens suspects, selon un bilan publié, mercredi, par la firme américaine.
Ce bilan démontre également que la France s’avère être le pays où le nombre de demandes est le plus élevé, avec 73.399 requêtes au total (21 % du total européen).
Cependant, Google affirme avoir rejeté des demandes de responsables publics ou de professionnels désireux voir disparaître des articles évoquant des condamnations criminelles ou des accusations de fraude.






