Une ONG américaine, National Alliance on Mental Illness , a convaincu le géant du Web d’afficher un test clinique pour détecter des symptômes liés à la dépression.
La National Alliance on Mental Illness, a en effet, constaté que le manque d’information et – plus encore – la désinformation pouvaient mettre certains patients atteints de dépression en danger. L’ONG considère que seulement 50 % des personnes souffrant de dépression suivent un traitement ou prennent en charge leur maladie.
À noter que, dorénavant, lorsqu’un utilisateur américain cherche « dépression » sur Google, il tombe sur un formulaire de dépistage rapide appelé « PHQ-9 ». Cliniquement validé, le test composé de neuf questions tente de savoir si l’internaute concerné doit consulter un médecin. Le géant du Web a tenu à rassurer ses utilisateurs : toutes les données récoltées lors de ce test sont confidentielles.