Versée chaque année à la mi-décembre, la prime accordée par Abdellatif Hammouchi s’inscrit dans une politique de reconnaissance des sacrifices consentis par les agents de la DGSN dans le cadre de leurs différentes missions.
Hicham Jerando, connu pour ses accusations indues contre les institutions marocaines, fait l’objet de critiques sévères après ses récentes déclarations liées à la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN). Selon des observateurs, Jerando semble traverser une véritable “impasse” après avoir promis, en vain, de révéler des “scandales” touchant les services de sécurité. Faute d’éléments probants, il aurait recours à des vidéos anciennes et à des interprétations erronées, purement incongrues, notamment sur une prime exceptionnelle versée aux fonctionnaires de police.
LES FAITS
En réponse à ses allégations, des sources proches de la DGSN affirment que cette prime, en vigueur depuis plus de neuf ans sous la direction avisée d’Abdellatif Hammouchi, constitue une mesure régulière vouée à encourager et récompenser les efforts des policiers. Versée chaque année à la mi-décembre, cette prime s’inscrit dans une politique de reconnaissance des sacrifices consentis par les agents dans le cadre de leurs différentes missions. Contrairement aux insinuations de Jerando, elle est financée exclusivement à partir des ressources budgétaires exclusives de la DGSN, issues d’une gestion rigoureuse et d’une gouvernance exemplaire.
Outre cette prime annuelle, un soutien financier spécifique est alloué, à des moments précis de l’année, aux retraités et aux veuves d’agents, illustrant ainsi l’approche intégrée des services sociaux au sein de la DGSN. Ces initiatives traduisent une stratégie globale de valorisation des ressources humaines de la police marocaine, en ligne avec les principes de transparence et d’efficacité administrative.
Jerando : un escroc sans crédibilité
Hicham Jerando traîne derrière lui une réputation sulfureuse, alimentée par des démêlés judiciaires et des relations avec des individus peu recommandables, au Maroc et au Canada. Plusieurs poursuites ont été intentées à son encontre pour des faits d’escroquerie et de diffamation, laissant entrevoir un homme dont les viles ambitions semblent irrémédiablement tournées vers l’appât du gain et la manipulation de l’opinion publique, ce que Barlamane.com a documenté à travers plusieurs enquêtes. Ce personnage, plus proche du tartuffe que du lanceur d’alertes, opère dans l’ombre pour diffuser des récits fallacieux destinés à semer le trouble. On lui prête également des liens avec des réseaux aux pratiques douteuses, faisant de lui un protagoniste central de ces campagnes de désinformation aux objectifs inavoués.
Malgré ces clarifications, Jerando persistera dans des accusations hors de propos, s’appuyant sur des informations non vérifiées et des déductions erronées. Ses déclarations sont perçues par certains comme une tentative maladroite de discréditer les services de sécurité à travers des campagnes de désinformation, sauf que toute chose a une fin.