La cour d’appel de Casablanca a refusé d’accorder un régime de liberté conditionnelle à celui qui a été condamné pour des crimes sexuels.
Il devrait rester en prison. La chambre d’instruction de la cour d’appel de Casablanca a décidé, vendredi 27 septembre, que Toufik Bouachrine, incarcéré depuis février 2018, resterait en détention, confirmant ainsi la décision prise dans d’autres audiences.
Rappelons également que Bouachrine est poursuivi pour des accusations de « traite d’êtres humains, d’abus de pouvoir et de vulnérabilité, d’utilisation du pouvoir et d’influence à des fins d’exploitation sexuelle par des menaces et diffamation, à l’encontre de deux personnes réunies, attentat à la pudeur, viol et tentative de viol ».
Le samedi 10 novembre 2018, la chambre de première instance a condamné Bouachrine à une peine de 12 années d’emprisonnement ainsi qu’à une dédommagement allant de 500 à 100.000 dirhams pour ses victimes.