La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a démenti, mardi, les informations publiées dans un journal national concernant une “fuite d’eaux usées des prisons locales Al Arjate 1 et 2, entraînant l’arrêt des études dans trois établissements scolaires”.
Dans une mise au point, la DGAPR souligne que les eaux usées des prisons locales Al Arjate 1 et 2 sont traitées au niveau des stations d’épuration établies par la Délégation à proximité des deux prisons.
La DGAPR affirme avoir constaté “l’absence d’une fuite d’eaux usées hors des stations d’épuration”, faisant savoir qu’il “s’est avéré que les eaux qui dégagent les mauvaises odeurs proviennent d’un marché avoisinant lesdits établissements scolaires”.