La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a démenti les allégations attribuées à une ressortissante française placée en garde à vue pour son implication dans une affaire d’adultère et de complicité d’adultère.
Cette intervention est survenue dans les heures légales et sur les lieux où ont été commis ces actes criminels, et ce, après l’épuisement de toutes les mesures et procédures légales, dont la notification des autorités judiciaires compétentes, et après avoir informé les deux personnes arrêtées de leurs droits, note la DGSN, ajoutant que la représentation consulaire du pays dont la mise en cause détient la nationalité a également été avisée de cette arrestation et que cette ressortissante a été autorisée à communiquer par téléphone avec un membre de sa famille.
Tout en réfutant ces allégations, notamment celles prétendant que l’arrestation a eu lieu à l’intérieur d’un établissement hôtelier et que la femme en question s’est trouvée en présence de femmes enceintes battues dans un couloir étroit, la DGSN souligne que l’interpellation de la prévenue est intervenue suite à une plainte pour adultère et complicité d’adultère et que celle-ci a été déférée devant le Parquet compétent, conformément à la législation pénale nationale.