L’administration de la prison locale de Tanger II a accusé des parties, prétendant défendre les Droits de l’Homme, d’induire le public en erreur en affirmant que Rabiâ al Ablak, détenu suite aux événements d’Al Hoceima, était en danger vu « la grève de la faim » qu’il menait. Ces parties ont affirmé que l’administration pénitentiaire ne se souciait pas de préserver l’intégrité psychologique et physique du détenu.
Dans un communiqué parvenu à barlamane.com, l’administration a déclaré que le seul souci de ces parties était d’induire en erreur l’opinion publique en « prétendant » s’inquiéter de la situation de Rabiâ Al Ablaq, et ce dans le but d’utiliser le cas de ce détenu pour atteindre de sombres objectifs et faire de la propagande.
La même source a souligné que ces organes avaient recours à des institutions non liées à la défense des droits de l’Homme, tels que Reporters sans frontières, qui avait exploité ce dossier pour tenter de nuire à la réputation de l’État marocain. Le fait que cet organisation demande la libération d’Al Ablak, constitue une ingérence flagrante dans les affaires intérieures de l’État marocain et constitue une violation des décisions de justice rendues par un pouvoir judiciaire indépendant.
L’administration de la prison locale de Tanger II a déclaré que l’opinion publique nationale était maintenant trop mûre pour être induite en erreur par la publication d’informations mensongères sur le prisonnier concerné, par des partis dont le seul objectif est de nuire au Maroc, et qui mobilisent plusieurs moyens de propagande à cet effet.