La situation sociale et économique dans la région de Daraa-Tafilalet ne cesse de se détériorer de plus en plus, en raison de la gestion improvisée et chaotique de Habib Chobani, président du Conseil de la région et dirigeant au sein du Parti Justice et Développement, à la tête du gouvernement.
Selon les informations dont dispose «http://Barlamane.com», cette région qui porte le nom de « la région les plus pauvre du Royaume» malgré les qualifications touristiques et les possibilités d’attirer des investissements industriels pour embaucher les jeunes qui sont en chômage, est devenue un exemple frappant de la précarité de la population qui a perdu tout espoir dans les élites politiques à la tête du conseil, dirigé par Choubani, chose qui a exacerbé les manifestations en tant que moyen d’expression de la population sur l’état de la congestion.
La situation dans la région est sur le point d’exploser, selon tous les indicateurs, ce qui confirme que le limogeage de Habib Choubani par des moyens administratifs ou judiciaires serait un moyen vital pour redonner espoir aux habitants de la région en ayant la possibilité de réaliser un avenir meilleur, et d’infuser du sang neuf grâce à l’élection de nouvelles élites pour diriger la region d’une manière qui ferait mettre en exergue les qualifications dont elle abonde.
En outre les membres des partis d’opposition au conseil régional de Daraa Tafilalet, appartenant aux partis d’authenticité et de modernité, au rassemblement national des indépendants, au parti du progrès et du socialisme et au parti de l’indépendance, n’ont demandé cessé de réclamer le licenciement de Choubani et le remplacer par un autre élu, surtout après ses multiples infractiond financières qui sont devenues une affaire juridique auprès du parquet général près de la Cour d’Appel de Fès.
Des sources sur « http://Barlamane.com » ont révélé l’intention des secrétaires généraux tenir des réunions entre les secrétaires généraux de ces partis de tenir le plus tôt possible début de la semaine afin de trouver des issues et des solutions finales et mettre fin au » blocage » du travail des instances élues de ladite région.
Il n’ y a pas lieu de rappeler que les représentants locaux de la société civile n’ont pas hésité à exprimer leur avis sur la direction de Habib Choubani et sa gestion irrationnelle du conseil de la région, dont la dernière a été la suspension de la session du Conseil pour le mois de juillet, sous de faux prétextes et arguments infondés manquant de respect à l’encontre des membres dissidents au sein de ce Conseil. Devant la tyrannie et la domination de Habib Choubani, les acteurs associatifs et les militants locaux des droits de l’homme ont procédé à la signature d’une pétition pour sonner l’alarme et mettre à nu les souffrances de la population à cause de la gestion improvisée improvisée et irrégulière de Habib Choubani, tout en appelant à la dissolution du conseil régional car, selon eux, il est responsable de ce qui est advenu de l’état déplorable économique et sociale de la région.






