Dbibina suit avec attention la récente campagne de diffamation visant le Maroc, dont la production a été confiée, cette année, à l’ONG américaine « Human Rights Watch », suite au flagrant échec de son concurrent direct, « Amnesty International », lors de la précédente édition avec son affaire « Pegapshiiiit »… Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’en reprenant à l’identique le même casting de 2021, « HRW », est en train de suivre la même trajectoire fatale qu’Amnesty, surtout lorsque la personne chargée de chapeauter cette campagne n’est autre qu’Ahmed Reda Benchemsi…
Pck il faut dire qu’Ahmed Reda est un curieux personnage, atteint d’un étrange cas de double personnalité où il se présente le matin comme, Benchemsi, ce digne activiste humanitaire qui défend toutes les causes perdues avant de se pointer le soir même, en tant qu’Ahmed Reda Makay7chemchi, devant ces mêmes causes perdues pour les lapider sur la place publique….
Ainsi, hier, dans un exercice pur de propagande, Benchemsi a diffusé un space sur twitter pour faire la promotion de sa campagne de diffamation, en y invitant Fouad Abdelmoumni et Khadija Ryadi, deux vieux routiers, ayant participé à toutes les tentatives d’ingérences étrangères contre leur pays, dont celle d’Amnesty International de l’année dernière et qui n’ont pas hésité à ressasser le même discours victimaire de toujours, à savoir : « les procès pour viol et harcèlement sexuel contre Bouachrine, Radi ou encore Soulaimane Raissouni sont injustes, complètements biaisées en faveur des plaignantes et ne sont qu’une instrumentalisation de l’Etat pour faire taire les voix libres »….
un discours complètement validé par Benchemsi qui a pointé du doigt, en tant que digne activiste humanitaire, « ces pratiques sournoises des autorités marocaines pour réprimer les dissidents »….
sauf que son alter-égo, Ahmed Reda Makay7chemchi, qui ne l’entendait pas de cette oreille, a tenu a rappeler à Benchemsi, qu’en 2010, il avait jeté Soulaimane Raissouni en pâture, après l’avoir accusé d’être une personne « indigne de confiance », qui produit un contenu « biaisé et mensonger » avant de finir par un jolie « ni oubli ni pardon pour Raissouni »….
cette attaque de Benchemsi contre une « voix libre » comme il aime qualifier Raissouni, est venu après que ce dernier ait publié sur le magazine « Nichane », détenu par Benchemsi à l’époque, un article accusant, sans preuve et avec des termes cru, certaines femmes d’avoir collaboré avec les services de renseignement, en allant jusqu’à les qualifier de « prostituées »…
Bizarre comment Benchemsi ne trouve aucun problème à s’en prendre à certaines « voix libres » en les qualifiant de « criminelles » lorsque sa réputation est en jeu, mais n’hésite pas un instant à faire appel à ses ennemis jurés pour prendre le parti de ces mêmes « voix libres » lorsqu’il a tout à gagner….sauf que si ton honneur et à vendre celui du Maroc ne l’est pas !!!
voir constamment le pays trainé dans la boue par des personnes indignes qui changent de postures comme de caleçons, en dit plus sur eux que cela en dit sur les autorités marocaines….en attendant donc le prochain retournement de veste de Benchemsi, j’aimerai ici conclure mon papier par ce témoignage poignant de Mouna Lahrech, qui n’est autre que l’ex-femme de l’intéressé : « Excédée de constater que tu continues à manipuler ton monde avec maestria. Ahmed, je te l’écris, te le crie. Tu le sais aussi bien que moi. Tu n’as pas de valeurs. Tu ne sers que ton ambition. Jusqu’où celle-ci te mènera-t-elle? »…..A bon entendeur, WA NOUUUUUUUD TG3D