Pas moins d’une vingtaine de vélomoteurs et bicyclettes ont été volés par un jeune homme, âgé de dix-neuf ans, qui vient d’être arrêté à Kelaât Sraghna par les éléments de la police judiciaire.
Sa dernière opération remonte à quelques jours quand il a été épinglé en flagrant délit de vol d’une bicyclette juste à l’entrée de la mosquée Assalam, située au quartier Al Hana.
Le suspect qui demeure dans un douar situé à plus de deux kilomètres de la ville de Kelâat Sraghna est un repris de justice qui a déjà purgé lors de son adolescence des peines d’emprisonnement pour vols qualifiés. Les lieux où il n’y a pas de gardien étaient son espace d’action, surtout à l’entrée des mosquées et des administrations publiques. Il ciblait également les engins à deux roues déposés à l’entrée des maisons.
Al Ahdath al Maghribya
La Chambre pénale du Tribunal de première instance de Casablanca a récemment reporté le procès d’un accusé de « trafic de médicaments sans licence et usurpation d’identité de pharmacien ».
Les enquêtes de recherche menées par les services de sécurité ont révélé que les médicaments saisis étaient soit des échantillons destinés à la publicité médicale et non à la consommation, soit des médicaments donnés gratuitement à certains établissements de santé.
La police a arrêté l’inculpé en flagrant délit en train de vendre des médicaments et des produits pharmaceutiques aux citoyens. Il était impliqué dans le trafic illicite de médicaments depuis des mois. L’expertise réalisée sur les conditions de stockage des médicaments saisis a prouvé qu’elles ne respectaient pas les normes sanitaires et pharmaceutiques imposées sur les médicaments.
L’Économiste
Le satellite d’observation de la Terre, Mohammed VI-A, sera lancé dans la nuit de mardi à mercredi depuis la base française de Kourou en Guyane. Une fusée Vega effectuera le lancement pour le compte du Maroc. Selon la société Arianespace, le décollage est prévu précisément à 01h42 GMT. « La mission durera environ 55 minutes du décollage à la séparation du satellite », précise Arianespace.
Yabiladi
La cour provinciale de Barcelone a estimé que le mise en cause arrêté avait offert 6.000 euros à un citoyen marocain en situation irrégulière en Espagne, qui vivait de la mendicité, en échange de l’un de ses reins, qui devait être transplanté à l’un des condamnés.
La Tribunal suprême a souligné que le crime de trafic d’organes, introduit en 2010, «ne concerne pas seulement la protection de la santé ou de l’intégrité physique des personnes», mais aussi leur dignité, afin d’«éviter qu’elles soient, de par leur leur situation économique, considérées comme un objet pourvoyeur d’organes».