La Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, a signé, jeudi, deux conventions pour la qualité de l’air et la lutte contre le réchauffement climatique.
La première convention vise à mettre en place une veille sanitaire éco-épidémiologique dans la région Casablanca-Settat, à la suite d’une première étude achevée dans le Grand Casablanca et dont les résultats ont été présentés lors de cette rencontre.
Une étude qui confirme la persistance inquiétante de la pollution dans le Grand Casablanca avec des impacts sur la santé et sur la qualité de vie et qui coûteraient au Maroc , selon Meriem Bensalah, présidente de la CGEM, 1% de son PIB, soit près de 10 milliards de dirhams.
La seconde convention concerne le Pacte Qualit’air, qui lie la Fondation, la CGEM et huit entreprises qui ont choisi de s’engager dans la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre et à la lutte contre le réchauffement climatique.
Les deux conventions ont été signées en présence de la princesse Lalla Hasna et de plusieurs personnalités du monde politique, économique, ainsi que des représentants de divers organismes.