La résolution réaffirme l’engagement du Parlement pour «limiter le réchauffement de la planète à 1,5°C et éviter une perte massive de biodiversité».
Le Parlement européen a décrété jeudi 28 novembre l’urgence climatique et environnementale, un vote symbolique pour maintenir la pression sur les dirigeants de l’UE à l’approche de la COP25 sur le climat et avec l’arrivée d’un nouvel exécutif européen. La résolution, adoptée à une majorité confortable (429 pour, 225 contre et 19 abstentions), affirme l’engagement du Parlement pour «limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C et éviter une perte massive de biodiversité».
Le Parlement européen a décrété jeudi 28 novembre l’urgence climatique et environnementale, un vote symbolique pour maintenir la pression sur les dirigeants de l’UE à l’approche de la COP25 sur le climat et avec l’arrivée d’un nouvel exécutif européen. La résolution, adoptée à une majorité confortable (429 pour, 225 contre et 19 abstentions), affirme l’engagement du Parlement pour «limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C et éviter une perte massive de biodiversité».
Le Parlement européen a décrété jeudi 28 novembre l’urgence climatique et environnementale, un vote symbolique pour maintenir la pression sur les dirigeants de l’UE à l’approche de la COP25 sur le climat et avec l’arrivée d’un nouvel exécutif européen.
La résolution, adoptée à une majorité confortable (429 pour, 225 contre et 19 abstentions), affirme l’engagement du Parlement pour «limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C et éviter une perte massive de biodiversité». Le Parlement, qui a une position plus ambitieuse que les Etats membres en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), a voté un second texte jeudi en prévision de la COP25 qui commence début décembre à Madrid. Il y exhorte une nouvelle fois les 28 à se mettre d’accord lors d’un sommet en décembre sur l’objectif de neutralité carbone d’ici 2050 au plus tard.
Les eurodéputés précisent par ailleurs que la réalisation de cet objectif passe par « une actualisation » des ambitions climatiques à moyen terme, et plaident pour une réduction des émissions de GES de 55 % d’ici 2030.