Une source bien informée de la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a indiqué à Barlamane.com que ce n’est pas la première fois que le quotidien arabophone marocain Akhbar Al Youm se donne le droit de déterminer ce que doit faire ou ne pas faire la DGAPR dans l’une de ses publications et ce, en réaction à l’article publié par le quotidien dans sa une dans sa livraison du jour. Il s’avère que les communiqués publiés par la DGAPR pour éclairer l’opinion publique n’enchantent pas ce quotidien fondé par Taoufik Bouachrine.
Selon la même source, le quotidien Akhbar Al Youm reproche à la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion sa nouvelle approche de communication, selon laquelle la DGAPR communique régulièrement sur ce qui se passe au sein des établissements pénitentiaires, et plus particulièrement un de ses communiqués au sujet d’une grève entamée par l’un des détenus incarcérés dans le cadre des événements d’Al Hoceïma. D’ailleurs le quotidien s’interroge même sur la validité des propos avancés par la DGAPR. Le quotidien Akhbar Al Youm s’aligne donc avec les parties qui veulent saper la crédibilité de la DGAPR en décrédibilisant ses propos et en véhiculant de fausses informations.
La DGAPR est, bel et bien, consciente de l’étendue de ses responsabilités en tant que secteur institutionnel et en tant qu’une partie intégrante de l’État, poursuit la même source. Par conséquent, la DGAPR tient à communiquer régulièrement sur les affaires qui lui sont liées, non seulement pour permettre à l’opinion publique de disposer de données fiables sur ces affaires, mais aussi pour révéler toute la vérité qui se cache derrière ces allégations. La même source a souligné que « l’opinion publique doit être immunisée contre la propagande trompeuse qui la vise ». Pour ce faire, il est essentiel pour la DGAPR d’exposer les plans et les agendas de ceux qui véhiculent ces fausses allégations sous le drapeau des droits humains.






