Cela fait un an et quelques poussières plus exactement le 11 août 2014, que l’acteur Robin Williams est décédé, à la suite d’un suicide. Suicide qui jusque là ne gravitait qu’autour de ‘’suppositions’’.
Le mardi dernier son épouse a révélé que l’acteur était atteint d’une maladie neurodégénérative provoquant de violents changements d’humeur et des hallucinations.
«Sa maladie était trop rapide et plus forte que nous.» a-t-elle déclaré. Une annonce bouleversante, qui dément la probabilité que Robin Williams souffrait de la maladie de Parkinson mais plutôt d’une forme de démence.
Suite à sa mort, son épouse avait alors déclaré qu’il luttait contre la maladie de Parkinson, la dépression et l’anxiété, mais les propos annoncés ce mardi, sont venus démentir cette annonce faite quelques jours après le suicide, car selon elle : «ce n’est pas la dépression qui a tué Robin. La dépression est l’un des, disons, cinquante symptômes» dont il faisait l’objet et «c’était l’un des plus minimes».