Les allégations faisant état d’un transfert forcé de deux détenus de la prison locale Ras El Ma de Fès vers les prisons locales d’Al Hoceima et de Nador sont “dénuées de tout fondement”, a affirmé mardi la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR).
Les allégations mensongères publiées sur des comptes de réseaux sociaux attribués à des membres des familles des détenus (J.B) et (A.M), selon lesquelles ces détenus ont fait l’objet d’un transfert forcé de la prison locale Ras El Ma, respectivement vers les prisons locales d’Al Hoceima et de Nador après avoir entamé une grève de la faim et souffert de harcèlement et de provocation, sont “dénuées de tout fondement”, a fait savoir la DGAPR dans une mise au point, notant que le transfert a eu lieu suite à la demande des intéressés et dans le but de les rapprocher de leurs familles.
Les deux détenus n’ont jamais déclaré avoir entamé une grève de la faim, et n’ont jamais fait l’objet de mauvais traitement ni de provocation de la part des fonctionnaires de l’établissement. La DGAPR affirme que les deux détenus bénéficient de tous leurs droits garantis par la loi et qu’ils n’ont jamais fait l’objet de provocation ou de harcèlement.
La DGAPR a souligné que les parties qui publient de tels mensonges et allégations tentent d’induire en erreur l’opinion publique, en inventant des faits inexistants alors qu’elles sont conscientes qu’ils manquent de véracité.






