Selon Algérie Part, les autorités algériennes mentent sur les chiffres de l’épidémie du coronavirus COVID-19. Et ce, « pour des raisons politiques internes et externes, dans l’espoir de ne pas rester longtemps sur “la liste rouge des pays” exclus de l’accès à l’espace Schengen européen ».
Pour ce journal algérien en ligne d’investigation et de décryptage, « les autorités algériennes continuent à escamoter les vraies chiffres des contaminations et des décès causés par le Covid-19 ». En concordances avec la Présidence de la République, les autorités algériennes ont tripatouillé les vrais chiffres du mois d’aoûts, ce qui explique la raison pour laquelle l’Algérie enregistre officiellement une baisse insolente de contaminations et de morts liés au coronavirus.
D’après ce média, le « nombre de décès a continué de croitre pendant le mois d’août pendant le mois d’août même si la pression a légèrement baissé sur les hôpitaux de plusieurs régions du pays ». Algérie Part dévoile que le nombre de décès cumulés jusqu’au 25 août auraient atteints 6858 cas contre 1456 annoncé officiellement. « Alors que les autorités algériennes se contentaient de déclarer entre 7 et 11 décès du coronavirus entre le 22 et 25 août, les chiffres officieux mais néanmoins réels font état de 37 morts le 22 août, de 71 morts le 24 août et de 44 morts le 25 août. Pour ce qui est du nombre de contaminations, nous rappelons qu’Algérie Part avait signalé il y a quelques jours de cela que chiffres quotidiens du ministère de la Santé concernant l’épidémie du coronavirus COVID-19 sont officiellement infondés », détaille-t-on. Ainsi, l’Algérie compte un plus de 78 mille cas confirmés au lieu des 42 228 annoncés officiellement.