D’après une enquête réalisée par le Sun, les employées chargées de produire les vêtements de la collection sont de jeunes ouvrières sri-lankaises sous-payée‘’Ivy Park’’ (environ 5,5 euros par jour).
Sachant que les articles se situent dans une gamme de prix haute (un legging peut coûter 140 euros), certaines organisations se sont élevées contre les pratiques des géants de l’industrie de la mode.
Appuyé par des témoignages qui livrent les détails de leurs conditions de vie très rudes, l’article précise que la chanteuse n’a pas encore réagi mais que sa marque a publié un communiqué.
« Nous sommes fiers des efforts durables accomplis dans l’inspection des usines et dans l’audit. Nos équipes à l’international travaillent de très près avec nos fournisseurs et leurs usines, pour s’assurer de leur conformité. Nous attendons de nos fournisseurs qu’ils respectent notre charte de déontologie et nous les soutenons dans leurs efforts ».
À noter que la marque Ivy Park de l’épouse de Jay-z, est imaginée pour les femmes et pour les aider à s’affirmer et se sentir mieux par le sport, Ivy Park prône des valeurs féministes en contradiction totale avec le quotidien de ces ouvrières, qui travaillent dur pour joindre les deux bouts et qui survivent bien plus qu’elles ne vivent.