Sur Twitter, Me Meriem Jamal Idrissi, avocate au barreau de Casablanca et chargée des affaires judiciaires de l’Association marocaine des droits des victimes (AMDV), s’est indignée du soutien apporté par le «Polisario», une entité fantoche, à Omar Radi et à Soulaiman Raissouni.
«Le Polisario rejoint la liste des défenseurs de Omar et Soulaiman afin de s’immiscer dans la justice marocaine et d’en faire une épée pour couper la tête des victimes des viols», a-t-elle dénocé.
Omar Radi est poursuivi à la fois pour avoir reçu des «financements étrangers», «atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat» et «viol» dans deux affaires jugées conjointement par la chambre criminelle de la cour d’appel de Casablanca. Quant à Soulaiman Raissouni, il est en détention pour «attentat à la pudeur avec violence et séquestration».
«Ils recherchent toutes sortes d’alliances, même avec les ennemis», a dénoncé sur Twitter Hafsa Boutahar, victime d’un viol commis par son confrère Omar Radi l’été dernier.
Hafsa Boutahar, accusatrice du journaliste Omar Radi, Muhammad Adam, victime de Soulaiman Raissouni, et l’AMDV ne cessent de se mobiliser contre les «voix de la diffamation» et signaler l’exploitation faite de ces affaires de droit commun et des machinations montées de toutes pièces.






