Ceux que certains médias occidentaux représentent pompeusement comme opposants et défenseurs des droits humains marocain ont tenté d’instrumentaliser l’affaire du petit Rayan, mort âgé de cinq ans, après avoir chuté dans un puits d’un village situé dans le nord du Maroc. Tandis que les secours étaient à pied d’œuvre pour le sauver, et alors que l’affaire suscite l’émotion au-delà des frontières marocaines, Maati Monjib, Zakaria Moumni ou encore Mohamed Hajib, surfaient sur l’événement pour régler leurs petits comptes avec le Maroc.
Tandis que les sauveteurs poursuivaient, durant plusieurs jours, leur laborieux forage pour tenter d’extraire vivant le petit Rayan, un enfant de cinq ans tombé dans un puits profond d’un village au Maroc, quelques vautours rôdaient autour cet événement qui a pris une ampleur internationale. Maati Monjib, condamné pour «fraude» et «atteinte à la sécurité de l’Etat» et «blanchiment d’argent», l’escroc Zakaria Moumni ou encore l’ex-terroriste Mohamed Hajeb multipliaient les sorties douteuses contre les institutions marocaines, lesquelles luttaient pour sauver Rayan.
Le garçonnet, dont le sort a préoccupé tout le pays et au delà, est tombé accidentellement, début février, dans le puits asséché, étroit et difficile d’accès, creusé près de la résidence familiale dans le village d’Ighrane. Aucun de ses faux opposants n’a entrepris une démarche susceptible d’apaiser les douleurs de la famille de Rayan.
Les secouristes ont acheminé de l’oxygène et de l’eau jusqu’au fond du puits exigu, ce qui laissait penser que Rayan est toujours vivant, selon les médias locaux. Jusqu’au bout, toutes les composantes du pouvoir public ont été mobilisées.
Le ballet des engins mécaniques déployés pour déblayer le terrain autour du puits de 32 mètres de profondeur n’a pas cessé pas sur le lieu du drame, un village proche de la localité de Bab Berred, dans la province de Chefchaouen (nord). Pendant ce moment, Maati Monjib plaidait pour une intervention étrangère tandis que Zakaria Moumni n’a trouvé rien de mieux que d’insulter les autorités locales, qui supervisaient les équipes de secours procédant aux travaux de forage pour atteindre le fond du trou où se trouvaient Rayan
Ces opérations complexes sont menées sous la supervision de sapeurs du génie et d’équipes de topographes et de la Protection civile. Les opposants de pacotille, depuis leurs exils dorés, tentèrent de troubler les esprits par des publications malsaines sur les réseaux sociaux.
La phase du sauvetage était délicate en raison du risque d’éboulement dû à la nature du sol, certaines couches étant sableuses et d’autres rocheuses. Les internautes ont assisté uniquement à l’éboulement de leur fausse moralité.
D’ailleurs, le hashtag #sauvezrayan (en arabe) figurait parmi les principales tendances de Twitter au Marocdurant plusieurs jours. Une petite recherche rapide a mis en évidence le fait que la coterie antimarocaine ne s’est pas saisie de ce hashtag pour exprimer sa solidarité.