Maroc Telecom, une des premières entreprises du continent africain, encourage depuis toujours, toutes les formes d’expressions culturelles et artistiques, sources d’épanouissement et de développement durable des communautés, selon Mellah.
« Maroc Telecom soutient la culture et l’art dans toute leur diversité« , a affirmé la Directrice des affaires sociales et du développement durable de Maroc Telecom, Mouna Mellah, dans une interview sur l’engagement de Maroc Telecom dans la promotion de la culture.
Ainsi, Maroc Telcom, en tant qu’ « acteur engagé en faveur de la culture et la préservation du patrimoine », est selon Mellah, « une entreprise présente dans de nombreuses manifestations sportives, artistiques et culturelles très variées, et ce, depuis de nombreuses années« .
La société de télécommunication « encourage depuis toujours, toutes les formes d’expressions culturelles et artistiques, sources d’épanouissement et de développement durable des communautés: la musique, le cinéma, le théâtre, l’édition… et il continuera à le faire » a tenu à préciser Mellah.
Concernant l’organisation de la première édition de ‘Mawahib Itissalat’, la Directrice des affaires sociales et du développement durable a souligné que « Mawahib Itissalat est un évènement organisé au profit des membres de la grande famille Maroc Telecom, c’est-à-dire aux collaborateurs et à leurs proches (conjoint et enfants) ».
Interrogée sur l’objectif d’une telle initiative, Mellah a expliqué qu’il s’agit de « détecter des talents, de les faire découvrir en interne à tous les collaborateurs de Maroc Telecom ». Il s’agit surtout, d’après la directrice de « fêter ces talents, et de créer plus d’occasions pour permettre à l’ensemble des collaborateurs de mieux se connaitre« .
La Directrice des affaires sociales et du développement durable de Maroc Telecom Mouna Mellah a également précisé que l’entreprise africaine « a proposé un certain nombre de disciplines (chant, instrument de musique, danse, comique/humour, mime, peinture, dessin), mais nous n’avons pas limité les participations à ces disciplines : nous avons laissé la possibilité à celles et ceux qui possèdent un talent en dehors de ces disciplines de participer ».
« Il y a eu d’ailleurs lors de la première édition des candidatures qui ne figuraient pas dans la liste, comme la magie, l’écriture ou le paper-cut », a-t-elle conclut.