Close Menu
  • Politique
  • Société
    • Faits Divers
    • Histoires Humaines
  • Economie
  • Sciences
  • Art & Culture
  • Vidéos
  • Sport
  • Monde
  • Le Kiosque
Arabic English Spanish

En continu

À Barcelone, Fouad Yazourh plaide pour une lecture apaisée des mouvements de jeunesse et évoque des pourparlers exploratoires entre le Maroc et l’Algérie

22 octobre 2025

Industrie pharmaceutique : le Maroc exporte son premier médicament à base de cannabis vers l’Afrique du Sud

22 octobre 2025

Projet de loi de finances 2026 : le Maroc introduit de nouvelles mesures fiscales pour structurer l’économie et soutenir la compétitivité

22 octobre 2025

Royal Air Maroc ouvre une liaison directe Casablanca–Saint-Pétersbourg à partir de janvier 2026

22 octobre 2025

Casablanca : la police interpelle douze individus pour violences urbaines et dégradations de biens

22 octobre 2025
Facebook X (Twitter) Instagram YouTube RSS
24/24
  • À Barcelone, Fouad Yazourh plaide pour une lecture apaisée des mouvements de jeunesse et évoque des pourparlers exploratoires entre le Maroc et l’Algérie
  • Industrie pharmaceutique : le Maroc exporte son premier médicament à base de cannabis vers l’Afrique du Sud
  • Projet de loi de finances 2026 : le Maroc introduit de nouvelles mesures fiscales pour structurer l’économie et soutenir la compétitivité
  • Royal Air Maroc ouvre une liaison directe Casablanca–Saint-Pétersbourg à partir de janvier 2026
  • Casablanca : la police interpelle douze individus pour violences urbaines et dégradations de biens
  • Sahara : Varsovie érige le plan d’autonomie en fondement crédible d’un règlement durable
  • Le Maroc table sur un déficit budgétaire de 3 % du PIB en 2026, contre 3,5 % en 2025
  • Le roi Mohammed VI recevra la sélection marocaine U20, championne du monde au Chili
mercredi, octobre 29, 2025
Facebook X (Twitter) Instagram YouTube RSS
Barlamane.frBarlamane.fr
Arabic English Spanish
  • Politique

    Sahara : Varsovie érige le plan d’autonomie en fondement crédible d’un règlement durable

    21 octobre 2025

    Le roi Mohammed VI recevra la sélection marocaine U20, championne du monde au Chili

    21 octobre 2025

    Le Pakistan et le Maroc s’accordent sur une prochaine visite de Nasser Bourita à Islamabad

    21 octobre 2025

    La directrice générale de l’OIM salue à Rabat la vision marocaine d’une mobilité équilibrée et solidaire

    21 octobre 2025

    Une fiction d’État construite sur le déni de tutelle : le Polisario poursuit sa course effrénée vers l’impossible

    21 octobre 2025
  • Société
    1. Faits Divers
    2. Histoires Humaines
    3. View All

    Casablanca : la police interpelle douze individus pour violences urbaines et dégradations de biens

    22 octobre 2025

    Une ONG marocaine signale la disparition d’une embarcation partie de Dakhla avec 44 migrants en route vers les Canaries

    21 octobre 2025

    La cour d’appel de Casablanca confirme plusieurs condamnations dans l’affaire Jerando

    20 octobre 2025

    Une vidéo diffusée par Hicham Jerando, faussement liée à un réseau de prostitution à Casablanca, provenait de sites pornographiques étrangers

    20 octobre 2025

    Dans «Mohammed V, dernier sultan et premier roi du Maroc», l’historien Benjamin Badier rappelle à la conscience collective une figure illustre et plus complexe qu’il n’y paraît

    15 septembre 2025

    L’ADN d’un Égyptien de l’Ancien Empire révèle des origines marocaines et mésopotamiennes

    3 juillet 2025

    L’incroyable histoire de Hasnae Taleb, la Marocaine de 29 ans qui dirige 3,8 milliards de dollars d’actifs depuis Dubaï

    17 juin 2025

    Le Maroc fait renaître en Angleterre une lignée de cigognes perdue depuis le Moyen Âge

    10 juin 2025

    À Barcelone, Fouad Yazourh plaide pour une lecture apaisée des mouvements de jeunesse et évoque des pourparlers exploratoires entre le Maroc et l’Algérie

    22 octobre 2025

    Casablanca : la police interpelle douze individus pour violences urbaines et dégradations de biens

    22 octobre 2025

    Une ONG marocaine signale la disparition d’une embarcation partie de Dakhla avec 44 migrants en route vers les Canaries

    21 octobre 2025

    La cour d’appel de Casablanca confirme plusieurs condamnations dans l’affaire Jerando

    20 octobre 2025
  • Economie

    Projet de loi de finances 2026 : le Maroc introduit de nouvelles mesures fiscales pour structurer l’économie et soutenir la compétitivité

    22 octobre 2025

    Le Maroc table sur un déficit budgétaire de 3 % du PIB en 2026, contre 3,5 % en 2025

    21 octobre 2025

    Le Maroc, premier client du blé tendre européen avec 758 620 tonnes importées depuis juillet, dans un contexte de recul de 21 % des exportations de l’UE

    21 octobre 2025

    Le projet de loi de finances 2026 introduit la technologie blockchain dans le dédouanement

    21 octobre 2025

    Steadright annonce un protocole d’accord avec la société marocaine CMS pour la relance de la mine polymétallique de Goundafa, une concession dans le Haut Atlas

    21 octobre 2025
  • Sciences

    Une étude marocaine menée par l’OCP et l’UM6P avec un soutien italien révèle que le mont Toubkal est contaminé par des microplastiques jusqu’à 4 000 m d’altitude

    21 octobre 2025

    Au Maroc, des scientifiques appliquent l’intelligence artificielle explicable à l’évaluation de la qualité de l’eau dans le bassin du Ziz

    19 octobre 2025

    Des chercheurs marocains conçoivent un système de nettoyage photovoltaïque à film roulant d’un coût modeste

    18 octobre 2025

    Accès aux soins oncologiques au Maroc : disparités territoriales, insuffisance des ressources et lenteur du parcours thérapeutique face à une charge cancéreuse croissante

    15 octobre 2025

    Une étude hydrogéochimique met en évidence une dégradation alarmante de la qualité des eaux de surface et souterraines du bassin du Sebou

    10 octobre 2025
  • Art & Culture

    Moussem d’Assilah : réflexion sur le concept et la fonction des institutions artistiques

    12 octobre 2025

    Le Maroc, à travers le BMDAV, institue un cadre juridique complet pour le droit de suite des artistes plasticiens et consacre son application effective par décret

    10 octobre 2025

    Le Maroc accueille la conférence africaine sur le droit de suite des artistes à partir du 14 octobre

    10 octobre 2025

    Nadia Sabri nommée directrice du musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain

    6 octobre 2025

    Line Producers India étend son maillage au Maroc et tisse un pont cinématographique entre l’Inde et le monde arabe

    4 octobre 2025
  • Vidéos

    Les scènes de l’assaut meurtrier contre la brigade de la gendarmerie royale à Leqliâa

    2 octobre 2025

    Au Maroc, «l’ère-Hammouchi» ou la mutation stratégique réussie du renseignement à l’épreuve des menaces hybrides

    16 août 2025

    France 2 consacre un reportage au développement du Sahara chiffré à des milliards d’euros

    12 août 2025

    «Le Maroc et le Sahara occidental formaient un seul et même pays avant que les colonisateurs ne viennent en morceler l’unité» : en Afrique du Sud, la conférence de presse du MK Party qui secoue tout

    23 juillet 2025

    «Le Monde» accusé de collusion rédactionnelle avec Mehdi Hijaouy, impliqué dans de graves délits

    21 juillet 2025
  • Sport

    Le roi Mohammed VI recevra la sélection marocaine U20, championne du monde au Chili

    21 octobre 2025

    “Le Monde” substitue à la joie nationale des U20 et du peuple marocain un récit idéologique centré sur la Gen Z 212

    21 octobre 2025

    Mondial U20 : Le Maroc, Prix Nobel du football des jeunes !

    20 octobre 2025

    Le président de la Commission de l’Union africaine félicite le Maroc pour son triomphe historique au Mondial U20

    20 octobre 2025

    Mondial U20 au Chili : le Maroc triomphe face à l’Argentine et décroche le titre mondial (2-0)

    20 octobre 2025
  • Monde

    Près des côtes marocaines, la marine française neutralise un go-fast transportant 2,4 tonnes de cocaïne

    21 octobre 2025

    Ryanair réoriente ses vols vers les pays aux coûts moindres, le Maroc figure parmi les bénéficiaires

    20 octobre 2025

    La RTVE présente une nouvelle fois le Sahara comme partie intégrante du Maroc

    19 octobre 2025

    China Eastern Airlines et Royal Air Maroc concluent un accord de partage de codes pour étendre les liaisons aériennes entre la Chine et l’Afrique

    18 octobre 2025

    Le Maroc se hisse à la troisième place mondiale avec 1,65 milliard de dollars d’exportations de tomates en 2024

    18 octobre 2025
  • Le Kiosque

    La Direction générale de la sécurité des systèmes d’information avertit d’une vulnérabilité critique dans le plugin Spirit Framework de WordPress

    4 octobre 2025

    La Direction de la sécurité des systèmes d’information alerte sur une vulnérabilité critique touchant Libraesva ESG et expose les risques d’une compromission totale

    30 septembre 2025

    Avec l’appui du Kenya, du Ghana et de Jacob Zuma à son projet d’autonomie pour le Sahara, le Maroc obtient une victoire majeure qui isole le Polisario en Afrique, analyse l’ISS

    25 juillet 2025

    Avec «iNJOY», Maroc Telecom inaugure une nouvelle ère de forfaits mobiles dématérialisés

    14 avril 2025

    Avant sa participation au Gitex 2025, Kaspersky dévoile les chiffres de la cybersécurité en Afrique : 66 millions de clics sur des liens frauduleux entre 2023 et 2024

    12 avril 2025
Barlamane.frBarlamane.fr
Home»Politique»On a lu le dernier livre de Javier Otazu sur le Maroc, un dépotoir de tous les poncifs

On a lu le dernier livre de Javier Otazu sur le Maroc, un dépotoir de tous les poncifs

Sara OmarBy Sara Omar14 novembre 20218 Mins Read
Share
Facebook Twitter WhatsApp Telegram Email Copy Link

Javier Otazu, en voulant accabler le Maroc, démontre une vérité inconstable : Un pays muni d’une volonté qui pense, maître de ses destinées, qui refuse de batailler contre des moulins à vent. On a lu son dernier livre, qui rejette systématiquement dans l’ombre une part de la réalité.

Ah! les plumes rancunières, dont la sottise déclamatoire n’a pas des intermittences. Commençons par les mots larmoyants d’Ignacio Cembrero, grand sophiste fanatique devant l’Eternel, qui a démissionné un certain 30 avril 2014 d’El País. Un courriel tonitruant : «Je m’en vais parce que, pour utiliser un euphémisme, je ne me suis pas senti soutenu par la direction depuis que le gouvernement du Maroc a annoncé qu’il portait plainte contre moi en Espagne pour apologie du terrorisme» a-t-il écrit. «Je leur ai demandé d’attendre que la plainte soit archivée, mais la direction m’a donné trois jours pour changer de poste, en me disant que ma mutation était urgente», raconte Ignacio Cembrero, devenu un pestiféré qui n’a que faire des distinctions, qui mène une croisade contre le Maroc depuis maintenant sept ans, obsédé par la manie de ne regarder le royaume que par ses plus vilains côtés, souvent inventés, tant il est vrai que la critique partiale est aveugle.

Il y a aussi le cas Ali Lmrabet, traîné avant quelques années en diffamation après une plainte déposée par le porte-parole de l’Association des parents des Sahraouis victimes de la répression dans les camps de Tindouf (Pasverti), après des déclarations polémiques de l’ex-journaliste à l’hebdomadaire marocain Al-Moustaqil, et selon lesquelles les réfugiés saharouis de Tindouf (sud-ouest algérien) «n’ont aucune envie de rentrer au Maroc» – et qu’ils n’auraient au demeurant «aucune difficulté» à le faire, via la Mauritanie. Depuis, c’est sur Twitter que la légèreté si hardiment injurieuse de ce controversiste fait florès. La vérité et l’éthique, voilà deux choses qui ne se réunissent pas chez Ali Lmrabet sans difficulté. Cela dit, ce dernier est très mal placé pour évoquer (depuis Barcelone) ces vertus que rien ne remplace : l’amour de la patrie, l’attachement au sol natal, la gratitude pour le passé, le respect de la tradition, surtout lorsqu’on démontre l’hostilité la plus âpre et la plus agissante les intérêts suprêmes du Maroc.

Dernier cas en date, Javier Otazu, journaliste à EFE, qui vient de sortir un livre de 128 pages, truffé de grands sentiments faux, de renseignements glanés un peu de toutes parts, de formules toutes faites et un étalage de dissertations morales, où l’on trouve, sans y chercher malice, à reprendre et blâmer autant ou plus qu’à louer. Barlamane.com s’est sacrifié, et a lu, le livre, préfacé par… Ignacio Cembrero. Voilà où mène le compagnonnage douteux. Pourquoi ce livre ? Parce que Javier Otazu a été empêché, fin 2020, de se rendre au Sahara. Comme ça, un livre pour épuiser «sa frustration». Le quatrième de couverture, dans son emphase, promettait beaucoup de choses. Mais comme il s’agit d’une plume compromettante ; le mauvais esprit de M. Otazu s’est incliné à se rabattre à des considérations moins fastueuses et plus générales.

Bien qu’en faillite, le roman antimarocain essaie encore de survivre ; à peu près tué sous la forme de racontars, et n’arrivant plus qu’à grand’peine à quelques révélations sans importance, il se morcelle et rompt ; il se divise, se brise et s’émiette en chapitres sans consistance, bourrés d’arguments à tiroirs. Des gaspillages intéressés, sans humilité. Il y a des détails insignifiants, il y a des détails bas, il y a surtout des détails incorrects.

Cherchons nous-mêmes dans ce mélange de paradoxes et de banalités que M. Otazu nous a donné, je ne dis pas une phrase, ou même un mot, qui commande l’attention et qui se grave dans la mémoire, mais seulement une idée nette, établie, nettement exprimée. Le Maroc, donc, dit Javier, est «un pays où la liberté de la presse brille par son absence», qu’il faut «éviter de franchir certaines lignes rouges sous peine d’être expulsé ou, plus vraisemblablement, de vous faire retirer votre accréditation» au risque de ne plus «couvrir l’actualité qui y est générée.» La liberté au Maroc «est une denrée rare», et le pays connaît une «frénésie répressive». Le cas Cembrero ? Le but est de «l’intimider, même en dehors du Maroc.»

Javier Otazu, comme Ignacio Cembrero, comme Ali Lmrabet, «raconte le vrai Maroc», allègue-t-il, car «il en sait plus sur ce pays que plusieurs ambassades européennes réunies.» Il y a, dit-il «une érosion» des libertés. La preuve ? à cause de certains individus «emprisonnés pour crimes sexuels» et certaines décisions majeures «non-discutées». Les crises diplomatiques déclenchées par Rabat avec Berlin et Madrid ? «Les autorités marocaines ont retiré leur masque et ont agi, pour la première fois ouvertement, comme un État hooligan.» «L’image du Maroc a sombré» en mai, après la crise migratoire, et l’Espagne qui a hospitalisé à Logroño, en cachette, le 18 avril 2021, Brahim Ghali, un criminel de guerre ? Aucun commentaire.

Notons que «la liberté» pour M. Otazu, est incarnée par des individus condamnés pour «traite d’êtres humains», «abus de pouvoir à des fins sexuelles», «viol et tentative de viol», «atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat», d’avoir reçu des «financements étrangers» en lien avec «des services de renseignement» et, enfin, pour «des faits d’attentat à la pudeur avec violence et séquestration». Comment quelque charitable conseiller éditorial ne lui a-t-il pas fait comprendre qu’il s’agit ici d’une flagrante ingérence dans la justice marocaine ? Le grand danger de la manière d’écrire d’Otazu, qui déforme les objets, c’est qu’elle déforme les sujets aussi. 

M. Otazu évoque également «les révélations» de Forbidden Stories, bien sûr en ne mentionnant pas le fait que le Maroc a affirmé «rejeter catégoriquement» les «allégations infondées» faisant état de son usage du logiciel Pegasus. Le royaume a nié également être client de NSO Group, lequel a contesté les conclusions du «Projet Pegasus», les qualifiant «pour beaucoup de théories non corroborées». M. Otazu, chantre de la question de moralité ou d’immoralité !

«Les relations extérieures du Maroc sont parsemées de provocations (sic !) restées sans réponse» comme «la fermeture unilatérale du bureau de douane commercial de Melilla, en août 2018» et «l’approbation, en janvier 2020, d’une zone économique exclusive qui chevauche celle demandée par l’Espagne pour les îles Canaries». Rabat «a pris ces initiatives sans consulter l’Espagne». «L’Espagne n’a pas été la seule puissance à avoir subi ces humiliations» fulmine-t-il.

Le correspondant de EFE note notamment le dépôt d’une convocation délivrée par la justice française à la résidence de l’ambassadeur du Maroc à Neuilly concernant M. Abdellatif Hammouchi, laquelle avait entraîné la suspension de la coopération judiciaire entre les deux pays. Paris, en plus de s’excuser, ce qu’omet d’évoquer le valeureux M. Otazu, a loué «l’expertise» et «l’efficacité» du Maroc «dans l’échange de renseignement», évoquant «un partenaire-clé» et saluant «l’action menée» par la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), dont le «rôle est déterminant dans la coopération contre le terrorisme». Malgré cela, Rabat a exigé une refonte des règles de coopération judiciaire.

Le plus terrible, c’est que M. Otazu évite de dire qu’un criminel sanguinaire condamné à une lourde peine par la justice et proche du Polisario, Ennaâma Asfari, a été soutenu par une douteuse ONG, qui a profité de la présence en France du patron du contre-espionnage marocain, Abdellatif Hammouchi, pour saisir la justice. Un «incident regrettable», avait déploré Paris.

M. Otazu a également mentionné avec ménagement les énormes dérapages verbaux en 2016 de l’ex-secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, lors d’une visite en Algérie destinée à relancer les négociations sur le Sahara, alors qu’il était censé garder une neutralité sur ce dossier. Rabat a décidé à la suite de cela de réduire ses effectifs dans la Mission de l’ONU pour le Sahara (Minurso) et d’annuler la contribution financière qu’il lui versait pour assurer son fonctionnement. M. Otazu tombe dans le piège de Ali Lmrabet et Ignacio Cembrero : ne plus enfanter que des pensées véritablement et foncièrement basses ; au risque de s’abaisser beaucoup au-dessous de la réalité. 

«Le Maroc se comporte souvent comme un petit tyran de plein air qui n’est arrêté par personne, sauf dans des cas extrêmes» phosphore M. Otazu. Sûrement il aurait aimé un pays qui soit une matière molle que les circonstances façonneraient au gré du hasard de leurs combinaisons. Singulière façon que de prêter au Maroc des préjugés d’un autre âge. Le livre de M. Otazu reflète une certaine façon de penser vulgaires, qui serait plus exactement nommée une façon de ne pas penser. La haine est une vermine qui ronge les livres antimarocains, et c’est par là justement qu’il périssent. C’est une de ces impressions sous lesquelles il faut laisser le lecteur.

Espagne Javier Otazu Maroc
Share. Facebook Twitter WhatsApp Telegram Copy Link Email
Previous ArticleUn criminel algérien réclamé par Interpol interpellé au Maroc
Next Article En Algérie, dans la capitale, un bulldozer pour ramener des enfants à l’école
Add A Comment
Leave A Reply Cancel Reply

Articles Récents

À Barcelone, Fouad Yazourh plaide pour une lecture apaisée des mouvements de jeunesse et évoque des pourparlers exploratoires entre le Maroc et l’Algérie

By Barlamane.Fr22 octobre 2025

Industrie pharmaceutique : le Maroc exporte son premier médicament à base de cannabis vers l’Afrique du Sud

22 octobre 2025

Projet de loi de finances 2026 : le Maroc introduit de nouvelles mesures fiscales pour structurer l’économie et soutenir la compétitivité

22 octobre 2025

Royal Air Maroc ouvre une liaison directe Casablanca–Saint-Pétersbourg à partir de janvier 2026

22 octobre 2025

Casablanca : la police interpelle douze individus pour violences urbaines et dégradations de biens

22 octobre 2025

Sahara : Varsovie érige le plan d’autonomie en fondement crédible d’un règlement durable

21 octobre 2025
Suivez-Nous
  • Facebook
  • Twitter
  • Instagram
  • YouTube
- Barlamane.fr- © 2015-2025

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.