Le projet de code de la presse et de l’édition conservera, contrairement à ce qui était attendu, les sanctions d’emprisonnement qui pourraient atteindre deux (2) ans au maximum et six (6) mois au minimum, contre les partisans de racisme et d’incitation au meurtre.
Une source du ministère de la communication assure que le projet, qui vient d’être déposé auprès du secrétariat général du gouvernement, prévoit des sanctions privatives de liberté à l’encontre des partisans du racisme dans tous moyens de communication, écrits, audiovisuels ou électroniques.
Le projet prévoit également d’étendre ces sanctions à tous ceux qui prônent le racisme au niveau des rassemblements ou toutes manifestations populaires, ajoute la même source.