Satisfaire les faméliques clientèles de sa propagande politique coûte pour la séparatiste Sultana Khaya. Et l’argent ne coule de quelque source mystérieuse, c’est l’Union nationale des femmes sahraouies (UNFS), qui comble en partie l’ardeur dépensière et les fantaisies de prodigalité de la fausse militante.
Les sources de Barlamane.com ont permis de mettre au jour, la trace d’un virement de 13 440 dirhams octroyé à la séparatiste Sultana Khaya par l’Union nationale des femmes sahraouies (UNFS), récupéré par son frère, Abdellah Khaya. Dans un audio que nous diffusons, Sultana Khaya, qui n’est donc pas emportée par une ambition désintéressée pour défendre les droits humaines comme elle le prétend, remercie l’UNFS des fonds envoyés à travers une agence du Crédit agricole de Sidi Ifni depuis la ville espagnole de Saint-Sébastien (nord). «Je tiens à remercier l’UNFS de son aide», a-t-elle dit.
Sultana Khaya multiplie ses provocations morceau par morceau, en les pesant en quelque sorte au compte-gouttes, suivant les besoins d’argent qu’elle éprouve au jour le jour. L’esprit d’empiétement de la vérité coûte cher, et les tendances séparatistes d’une zélée controversiste des thèses du Polisario sont finalement motivées par une contrepartie matérielle.
Celle qui ne jure fidélité que pour les idées de modération tout en posant avec une arme dans les camps de Tindouf est financée par une association séparatiste, sauf que cela ne lui donne pas le droit de jeter l’anathème à la face du Maroc et de l’accuser de tous les maux qu’elle rencontre.
Si l’on nomme du nom de militants l’espèce turbulente qui s’érige en maîtresse souveraine du droit par la seule vertu des coups de main, qui impose ses idées moyennant rémunération, à qui ce nom-là convient-il plus qu’à une femme qui souille les pures notions de justice et de liberté, tout en défendant une coterie où la justice n’est été qu’exception, et la liberté que leurre ?
