«Pour le Roi du Maroc, la santé des Marocains est une priorité», a écrit, jeudi, le journal colombien Primicia Diario dans un article consacré aux mesures prises par le Royaume, sous l’impulsion du Souverain, en vue de contenir la propagation de la pandémie du nouveau coronavirus.
Le Roi Mohammed VI « supervise chaque mesure prise pour protéger les Marocains en en faisant une priorité dans le combat contre Covid-19 », a fait savoir le journal. Le média colombien précise que dès l’apparition des premiers cas de contamination au nouveau coronavirus dans le Royaume, le Maroc a procédé à la mise en œuvre d’une série de mesures, afin de stopper la propagation du virus, alors que des pays sérieusement touchés ont tardé à prendre les dispositions nécessaires pour prévenir les infections.
« Les autorités marocaines ont été conscientes de l’impératif de prendre des décisions radicales et de mettre en œuvre une série de mesures drastiques (…) avec une rapidité surprenante », a poursuivi le quotidien colombien. L’article passe également en revue les différentes mesures précoces prises par le Royaume pour faire face à la propagation de cette pandémie, telles que la suspension des vols internationaux avec plusieurs pays d’Europe ou la fermeture des mosquées et des écoles et universités.
Primicia Diario s’est fait notamment l’écho de la création, le 15 mars, sur instructions du Roi, d’un Fonds spécial dédié à la gestion de la pandémie du coronavirus, doté initialement de 10 milliards de dirhams. L’initiative royale a suscité un vaste élan de solidarité dans le pays, dans la mesure où ce Fonds a reçu, et continue de recevoir, des contributions financières volontaires des principales entreprises du Royaume, des compagnies d’assurance, des banques, des hauts fonctionnaires de l’État, des parlementaires et des citoyens marocains, pour venir en aide aux plus démunis, a souligné le journal.
La prise de ces décisions en temps opportun a été saluée par la presse internationale, tels que les quotidiens El Pais (Espagne), le New York Times (États-Unis) et le journal en ligne britannique Byline Times, a encore rappelé la publication.