Le réalisateur marocain Mohamed Chafik, surnommé Shimi n’a rien trouvé de mieux pour fuir en France afin d’échapper à la justice pour émission de cheque sans provisions, que de parler de corruption et de clientélisme sur les plateaux de télévision française.
Shimi, connu pour son narcissisme et pour la lenteur de ses productions au point d’être boycotté par la plupart des producteurs, avait émis un cheque de 52 millions de centimes et fui en France après avoir su que le destinataire dudit cheque l’avait remis à son avocat.
Shimi a donc fui en France, pays dont il porte la nationalité, alors qu’il redevable de deux ans de loyer d’une maison sur la plage David prés de Rabat. Il doit également le loyer de plusieurs mois d’une maison dans laquelle il résidait avant celle de la plage, outre des factures chez l’épicier, le boucher, le marchand de légumes et autres techniciens ayant travaillé avec lui.
Le site barlamane.com a pris connaissance de certains documents prouvant que Shimi, qui prétend n’avoir reçu aucun dirham de la série « chouk Sadra », a bel et bien perçu la somme de 300 millions de centimes pour sa série télévisée dont il n’ a accouché que quatre ans plus tard.
Shimi qui a accusé de corruption de manque d’éthique certaines personnes, est connu pour son harcèlement sexuel à l’encontre de jeunes actrices parmi elles, une qui failli le trainer devant les tribunaux, n’eut été l’intervention d’un des producteurs.
L’actrice Loubna Abidar qui s’était bien éclatée dans une boite de nuit de Casablanca en compagnie de jeunes, une soirée bien arrosée qui s’est terminée par une bagarre bien rangée avec coups et blessures, avait elle aussi fui en France où elle s’est livrée à des critiques acerbes à l’encontre de la société marocaine accusant ses concitoyens de machistes et de sous développés, et se permettant même d’opiner sur des questions comme le Sahara, la situation économique et politique, des sujets que son niveau scolaire médiocre ne lui permet nullement de développer, tout cela afin de régulariser sa situation dans la ville des lumières, Paris.
Tout porte à croire que les propos de Shimi, censé expliquer les raisons derrière sa fuite en France, vont dans la même direction de ceux de Louban Abidar, et il ne serait pas étonnant de le voir, lui aussi, écumer les plateaux de télévision et solliciter la presse écrite pour parler de « dictature au Maroc, d’absence de liberté, de torture, du makhzen, des crocodiles et des diables », en somme le même lexique de tous ceux qui traînent des casseroles dans leur propre pays, le Maroc, et qui choisissent l’Hexagone pour s’y planquer.
Mais comme les médias se lassent vite d’un sujet pour passer à un autre, il finira lui aussi dans le dépotoir de l’histoire à l’instar de ceux qui l’ont précédé dans ce sport favori qui constitue à jeter l’anathème sur son propre pays qui, malheureusement, se fait flageller par ses propres enfants.
2 commentaires
la vérité c’est que c’est un voleur
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