Tel que décrit par TSA, on croirait que le CPS, à travers ses trois tweets, faisait du réchauffement avant de passer à l’attaque et mordre tel un bulldog entraîné par son maître Chergui. Soulagement de ce dernier après sa mission accomplie sur instructions des généraux d’Alger, mission qui consiste à chercher la moindre faille du Maroc depuis son adhésion à l’UA le 30 janvier dernier. Une adhésion qui les empêche de dormir d’où ce « piège » dans lequel ils sont eux mêmes tombés en croyant que le Maroc, accepterait de s’asseoir aux cotés de l’Algérie et du représentant des séparatistes pour se voir accuser, insulter, calomnier et pointer du doigt. C’est à se demander si l’Algérie aurait accepté de participer à une réunion revendiquant l’indépendance des Kabyles.
Le CPS, guidé par la sentinelle d’Alger qu’est Smaïl Chergui, a appris à ses dépens que le Maroc n’est pas là pour discuter du statut de ses Provinces du sud , déjà tranché depuis 1975, mais pour contribuer au développement de l’Afrique toute entière, non pas avec des paroles et des dessous de table, mais avec de grands projets économiques, sociaux, culturels et religieux. C’est cela qu’attendent les africains du retour du Maroc et non des réunions télécommandées depuis Alger sur la prétendue situation « au Sahara Occidental ».






