Le Roi Mohammed VI a déclaré vendredi lors de son discours, le vendredi 13 octobre, devant les membres des deux Chambres du Parlement à l’occasion de l’ouverture de la première session de la 2e année législative de la 10e législature, que « les dysfonctionnements qui entachent la gestion des affaires publiques ne sont pas une fatalité ».
Le Souverain a ajouté que « les surmonter n’est pas impossible, à condition de s’armer d’une volonté sincère et d’exploiter judicieusement les moyens disponibles ».
Par la suite, le Roi Mohammed VI a expliqué que l’organe chargé de surmonter ces dysfonctionnements est le parlement en premier lieu, puis le gouvernement et les élus, soulignant la nécessité de « souscrire, avec responsabilité et sincérité, à l’effort national visant à changer cet état des choses, loin de toute considération politicienne ou partisan », tout en précisant également que « la Patrie appartient à tous les citoyens ».