Le Kremlin a affirmé ce mercredi » ne pas avoir de dossiers compromettants sur Donald Trump ».
Selon des allégations non confirmées venues de Russie, Moscou se vanterait pourtant d’être en possession d’informations compromettantes sur la vie privée de Donald Trump, ainsi que sur ses activités économiques. Un rapport affirme également qu’un échange d’informations a eu lieu pendant la campagne présidentielle entre l’entourage du candidat républicain et Moscou.
Le document en question contient des détails de nature sexuelle dont l’authenticité est pour l’instant invérifiable. Selon le mémo, les services secrets russes possèdent « assez d’éléments pour faire chanter Trump en cas de besoin ».
Mais la partie la plus explosive concerne des accusations sur un échange d’informations qui aurait eu lieu entre la campagne de Trump et des intermédiaires du gouvernement russe, selon le mémo. Le rapport affirme non seulement que la Russie est derrière le piratage des emails du parti démocrate et du directeur de l’équipe de campagne d’Hillary Clinton mais que l’opération de diffusion via WikiLeaks a été menée « avec le soutien et l’approbation de Trump et de cadres de son équipe ».
À noter que le rapport provient d’un dossier « d’opposition research » sur Donald Trump compilé par un ancien agent du MI6 (renseignement britannique). Ce dernier, qui travaille aujourd’hui dans le privé, a été embauché par des donateurs soutenant des adversaires de Trump durant la primaire républicaine, puis des démocrates ont repris le bâton.
Déployé en Russie dans les années 90, l’agent a gardé des contacts sur place et a contacté le FBI à Rome en août 2016. De son côté, le sénateur républicain John McCain a également obtenu une copie du rapport qu’il a fait suivre au directeur du FBI, James Comey, le 9 décembre 2016.
Pour rappel,






